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Sébastien MENARD

RN116 : DES DÉCENNIES DE « BLABLAS » POUR RIEN !

BANDEAU DLFBy Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
Le Préfet des P.-O. a donc annoncé l’enterrement du projet de prolongement de la RN116, vital pour le développement économique de notre arrière-pays et des hauts-cantons. Dès 2010, puis en 2012, le projet était soit disant « acté », les travaux devaient débuter… promesses de campagnes de l’UMP de l’époque. Depuis, les socialistes n’ont pas beaucoup bougé pour défendre ce prolongement.
30 millions d’€uros seront, peut-être, débloqués pour contourner Marquixanes… On ne réglera donc pas le problème du grand nombre d’accidents, parfois mortels, à hauteur de Vinça. On ne règlera pas le problème du temps de trajet aussi long entre Ille sur Têt et Prades qu’entre Perpignan et Ille sur Têt. On ne facilitera pas l’installation d’entreprises dans les hauts-cantons, on ne facilitera pas l’accès aux stations de ski, bref… on ne bouge pas. Tout va bien.
Quel manque de volonté politique dans ce département. Toujours un temps de retard – il n’y a qu’à voir ce qu’il se passe avec le nom de la Région – et des complaintes qui arrivent toujours après. 
Debout les P.-O. avait fait une proposition : faire front commun pour forcer la SNCF à opter pour le tracé alternatif de la ligne LGV en passant par Perpignan, plutôt que le projet de contournement qui coûtera 500 à 600 millions d’€uros de plus, et utiliser cet argent économisé pour faire le prolongement de la RN116 (150 à 200 millions d€uros). Nous aurions donc le TGV à Perpignan, une RN116 en 2×2 voies jusqu’à Prades et on ferait toujours des économies de 300 à 400 millions d’€uros. C’est du 3 en 1.

DÉPARTEMENT : MADAME DELGA, DES ENGAGEMENTS CONCRETS !

BANDEAU DLF
By Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
Carole DELGA répond à la manifestation de samedi en disant vouloir apporter une réponse de fond, et cite plusieurs dossiers (TGV, Train Jaune, Aéroport, agriculture, tourisme…). Debout les P.-O. met au défi la Présidente de la Région de s’engager concrètement sur trois choses :
– Les investissements : elle l’a dit et redit, la Région a investi plus de 500 millions d’€uros entre 2010 et 2016. Or, dans le même temps, c’est près de 2,3 milliards d’€uros qui ont été investis sur la seule Métropole de Montpellier. Madame DELGA s’engage-t-elle à ce que pour 1 €uro injecté dans la Métropole Montpellier, 1 €uro soit injecté dans les P.-O.?
– Le tracé TGV : s’engage-t-elle a faire le forcing pour que la SNCF modifie le tracé envisagé pour la future ligne LGV Montpellier-Perpignan et opte pour la solution alternative (passage par l’ancienne ligne modernisée et la gare TGV de Perpignan), quitte à menacer de refuser de participer à son financement ?
– Aéroport de Perpignan : Airbus se développe et a besoin de place. L’aéroport de Perpignan, déjà utilisé pour les tests des nouveaux appareils et disposant également d’un centre de maintenance aéronautique (EAS), pourrait être une solution pour Airbus qui pourrait alors y délocaliser quelques services ou unités. Madame DELGA s’engage-t-elle à promouvoir cette idée auprès des dirigeants d’Airbus et a soutenir ces derniers s’ils venaient à l’accepter ?
Sans ces engagements concrets, tout ce qu’elle pourra dire ne sera que des généralités destinées à nous endormir. En effet, quelques panneaux et un office de la langue ne suffiront pas à résorber les 16 % de taux de chômage !
Nous demandons des engagements concrets et chiffrés, sinon, il faudra acter la nécessité de se déconnecter de la région Occitanie et de se construire notre propre collectivité unique dans le cadre de la République Française, via l’article 72 de la Constitution.

NOM DE LA RÉGION – MANIFESTATION DU 10 SEPTEMBRE « OUI AU PAYS CATALAN » : DLF SERA ABSENT MAIS LA SOUTIENT AVEC FORCE

En raison d’une obligation personnelle, je ne pourrai pas être présent à la grande manifestation du 10 septembre pour la défense du pays catalan, organisée par le Comité « Oui au Pays Catalan ».
J’invite bien évidemment tous manifestationles habitants du département à s’y rendre et à faire le maximum de bruit pour que Toulouse et Paris nous entendent : nous ne nous laisserons pas faire !
sebastien-menardCela étant dit, je me sens très mal à l’aise à l’idée de savoir que des « grands » élus du département participeront à cette manifestation alors qu’ils ont trahi par leurs actes ou leur silence notre territoire. Que ce soit sur le nom de la région – en ayant voté pour le nom « Occitanie » ou en soutenant une autre proposition que « Occitanie – Pays Catalan » – ou leurs moqueries à l’occasion de la première manifestation du 18 juin dernier, ces élus faux-culs ne sont plus crédibles et me font penser à des girouettes qui s’alignent selon le sens du vent, les élections législatives, sénatoriales et présidentielle de 2017 en ligne de mire…
J’espère que les habitants de ce département ne se feront pas avoir une nouvelle fois par la récupération politique que font certains et sauront identifier ceux qui sont cohérents entre les paroles et les actes.
Nous rappelons que DLF66 a toujours soutenu le principe d’une collectivité territoriale unique catalane, seule solution pour que notre territoire se développe.
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affiche

LGV : EN ATLANTIQUE, LA REBELLION. ET ICI ?

By Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
Sébastien Ménard

Sébastien Ménard

Les agglos de Pau et Bayonne ainsi que le département des Pyrénées-Atlantiques devaient payer 120 millions d’€uros pour participer au financement du TGV entre Tours et Bordeaux. Celles-ci ont décidé de ne pas payer pour une ligne TGV qui ne desservirait pas leurs collectivités. 
« D’un coût total de 7,8 milliards d’€uros, la LGV Tours-Bordeaux, qui doit entrer en service en juillet 2017, doit mettre Paris à 2h05 de Bordeaux, contre plus de 3 h actuellement. Elle a déjà fait l’objet de vives controverses entre les collectivités locales, SNCF Réseau (ex-RFF) et le concessionnaire Lisea, notamment en raison de son montage financier, basé sur un partenariat public-privé. Si des TGV desservent bien différentes gares des Pyrénées-Atlantiques, ils circuleront sur des lignes classiques au sud de Bordeaux même après la mise en service de la LGV. Le trajet Paris-Bayonne dure aujourd’hui plus de 5 h et Paris-Pau au minimum 5h30″ (MidiLibre.fr).
Dans notre département, le choix de contourner Perpignan et la seule gare TGV du département, pour un surcoût de 600 millions d’euros, revient au même résultat que dans les Pyrénées-Atlantiques : une cicatrice terrible sur notre territoire pour une desserve réduite au minimum.
Cette nouvelle ligne verra la construction de nouvelles gares TGV à Montpellier, Béziers et Narbonne, soit une tous les 50km, et contournerait tout notre département. C’est inadmissible. 
Nous demandons aux collectivités locales, Région, Département et Communauté Urbaine, de refuser elles aussi de participer au financement de cette ligne TGV entre Montpellier et Perpignan si celle-ci devait toujours contourner la Gare TGV de Perpignan.

RÉGION : NOUS SOMMES DONC UN « SOUS-TITRE »

BANDEAU DLF
Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
Les élus régionaux ont donc décidé de passer en force et d’imposer « Occitanie » comme nom de région, reléguant les catalans au rang de vague sous-titre avec « Pyrénées-Méditerranée » par 85 voix contre 60. 
Debout la France, notre fédération en particulier, s’était opposé dès le début à la réforme territoriale, anticipant la négation puis la disparition des « petits » territoires au profit des métropoles gloutonnes, et nous avions fait campagne depuis lors pour la création d’une Collectivité Territoriale Unique « Pays Catalan » ancrée dans la République Française : nous étions les SEULS à le dire pendant les Départementales, et toujours les SEULS à le proposer avec notre liste aux Régionales. Aujourd’hui les choses bougent : le Comité « Oui au Pays Catalan » s’est constitué, la population commence à se mobiliser.
Une CTU, moderne, réactive, connectée au monde et surtout démocratique, avec les compétences régionales et départementales réunies, est le seul moyen pour que notre département s’en sorte et continue d’exister après 2020/2021, date de la suppression des départements. Le Grand Paris, la Métropole Lyonnaise, la Corse, les DOM-TOM-COM d’Outre Mer… une dizaine de statuts existent et sont encadrés par l’article 72 de la Constitution française. 
Cette CTU sera un acteur majeur et indispensable qui aura la capacité d’influer sur les choix des décideurs nationaux : je pense notamment au tracé de la Ligne à Grande Vitesse qui doit contourner Perpignan, je pense au développement de l’aéroport et du port, je pense aussi aux grandes politiques économique, touristique, culturelle, écologique, etc.
Nous devons avoir notre mot à dire sur ce que nous voulons pour notre territoire.

POLITIQUE : PERPIGNAN L’OCCITANE !

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Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
La Région, sous la pression de divers mouvements politiques dont Debout les P.-O., a enfin officialisé les résultats de la consultation sur le futur nom de la Région. 
Tout d’abord, il faut noter l’énorme échec de la majorité rose-verte : seulement 204 000 personnes se sont prononcées. La « grande consultation populaire » n’a pas mobilisé les citoyens qui ont compris l’arnaque : on leur demande leur avis tout en expliquant que les élus pourront faire ce qu’ils veulent le 24 juin prochain.
perpi occitane2Concernant le résultat… « Occitanie » en tête avec 45%, « Occitanie Pays Catalan » à 12%. Prévisible malgré notre mobilisation sur le sujet et le fait que certains « catalans » aient préféré jouer le jeu du nom « géographique » ou « économique » comme si nous n’étions que de simples marchandises à vendre. 
Notre département disparaît petit à petit. Notre spécificité locale s’efface dans un ensemble « occitan » qui ne nous représente pas et dont la marque commerciale « Sud de France » ne représente déjà plus rien.
Debout les P.-O. regrette de devoir constater, encore une fois, que les élus socialistes et écolos n’ont pas été capables de mobiliser et rassembler tous les citoyens de la Région sur cette question.
Cette nouvelle étape dans le processus de disparition programmée des départements, le notre en particulier, nous renforce dans notre idée qu’il faut un statut de collectivité territoriale unique pour le Pays Catalan, dans le cadre de la République Française.
Tous à la manif du 18 juin à Perpignan !
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POLITIQUE : APPEL A MANIFESTER !

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Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »
Depuis presque 2 ans maintenant, je défends le droit et la nécessité d’un statut de Collectivité Territoriale Unique pour les P-O. Aujourd’hui, membre du Comité « Oui au Pays Catalan » je continue à me battre pour notre territoire. 
Le développement économique de notre département ne doit plus dépendre de la bonne volonté d’élus planqués dans leurs forteresses Toulousaine et Montpelliéraine.
Nous devons reprendre en main notre avenir. La Corse, le Grand Lyon, les territoires d’Outre-Mer, le futur Grand Paris… autant d’exemples qui autorisent notre département à demander ce statut. 
C’est pour cette raison que j’appelle tous les habitants du département à venir manifester le samedi 18 juin à Perpignan pour la défense de notre Pays Catalan français.
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POLITIQUE : DOIT-ON ENDETTER INUTILEMENT LE DEPARTEMENT, OU LUI DONNER LES MOYENS DE BIEN INVESTIR ?

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »
Comme le dit Romain GRAU lors de la dernière assemblée départementale, il faut « une collectivité stratège qui ait à coeur de porter des projets structurants ». Oui, mais après la réduction drastique des compétences départementales dans le cadre de la Loi NOTRe, Républicains et Socialistes se sont entendus pour programmer la disparition des départements dès 2020/2021 !
Par conséquent, le Département n’a déjà plus de compétences économiques et ne pèse plus rien dans les grands débats (Ligne Grande Vitesse, développement du Port…). Dépenser plus dans la construction de routes ne réglera rien.
Il faut que notre département puisse bénéficier du statut particulier de « Collectivité territoriale Unique » qui lui permettrait, dans le cadre d’une démocratie modernisée, de développer notre territoire en fixant les grands objectifs et en défendant nos intérêts sur la scène nationale et internationale, puis en ayant les moyens financiers et politiques d’investir massivement là où il le faut pour relancer la machine économique. Sans un Département fort, ce sera la guerre des « agglos » dans une Région qui n’attend que ça : « diviser pour mieux régner ».
C’est pour cela que je participe au Comité « Oui au Pays Catalan » et que j’appelle les habitants des P.-O. à venir manifester le 18 juin prochain à Perpignan.

PERPIGNAN : NOUVELLE CITE POLICIÈRE

Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »
Concernant la création d’une « cité policière » en lieu et place de l’actuelle caserne CRS58, la fédération catalane de Debout la France ne peut que soutenir avec force ce projet de bon sens et espère qu’il ne s’agira pas d’un énième projet qui tombera aux oubliettes, comme la Cité Judiciaire que l’on attend toujours à Perpignan.
En effet, actuellement tous les services de police de la ville (DDSP, SRPJ, DDRT, DGSI, DDPAF) sont dispatchés sur toute la ville, pour la plupart dans des locaux plus que vétustes.
Outre des problèmes de confort, la situation actuelle pose surtout des problèmes de sécurité tant pour les fonctionnaires que pour le public, notamment lors des transfèrements des personnes gardées à vue.
L’actuel site de la CRS58, dont l’état est propriétaire, dispose d’une surface de 25 000m2 et est déjà équipé d’un stand de tir couvert. En déduisant le coût actuel de location des locaux utilisés, sans parler de la revente de l’hôtel de police actuel, l’investissement serait très vite rentabilisé.
Enfin, la mise à disposition de ces nouveaux locaux pourrait permettre l’accueil de plus de personnel en tenue, ce qui est nécessaire.
Affaire en cours d’instruction… En espérant qu’elle ne sera pas classée sans suite.

RÉGION : QUAND CAROLE DELGA SE PREND POUR H.TRUMAN !

Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

La semaine dernière, Carole DELGA a présenté son « Plan Marshall » pour l’emploi. Opération louable sur le fond, il n’en reste pas moins que la région est beaucoup moins ambitieuse que ne l’étaient les Etats-Unis au lendemain de la seconde guerre.
Ce fameux plan de 800 millions d’€uros ne réserve seulement que 15 à 20 millions pour les Pyrénées-Orientales, soit à peine 2 à 2,5 % du budget total, pour des travaux routiers principalement alors que nous représentons près de 10 % de la population régionale et que nous sommes le département le plus touché par la pauvreté et le chômage.
Après le TGV qui contourne Perpignan… Après le Plan Marshall qui n’aide pas les P.-O.… Avant le choix du nom de la Région qui pourrait faire disparaître toute notion de Pays Catalan… on peut se poser une question : qui ou quoi dans ce département peut vraiment peser dans les négociations avec la Région ou l’État ?
Ca manque cruellement de « leadership politique » par ici…

PERPIGNAN : PAS DE BUS A CLODION, LA FAUTE A QUI ?

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Les habitants de Clodion dénoncent l’absence de bus dans leur quartier, la faute à des idiots qui caillassent les bus de la CTPM. C’est compréhensible, mais malheureusement ça fait des mois que ça dure et rien n’avance.
On attend des responsables politiques une réaction un peu plus forte que de simplement laisser les chauffeurs de la CTPM contourner le quartier et promettre plus de policiers. L’installation de caméras de vidéoprotection dans ces zones est urgente pour permettre l’identification des délinquants.
Quand à la mairie de Perpignan, elle doit cesser de se cacher derrière le gouvernement ou la justice. Elle peut, elle aussi, agir en interdisant l’accès aux avantages proposés par les centres sociaux (activités ludiques, entrées gratuites ou à tarifs préférentiels…) ou en suspendant les aides municipales dont bénéficie la famille du délinquant. Et si cela ne suffit pas à rétablir l’ordre public, il faut avertir cette même famille qu’elle peut être expulsée de son logement social.
Après tout, l’Office HLM de l’agglo diffuse bien, en ce moment, une note avertissant les locataires de la possibilité de les expulser s’ils sont surpris en train de… nourrir les pigeons (Voir ci-dessous) !
On attend donc des parents une reprise en main de l’éducation de leurs enfants : la solution ne peut pas venir seulement de la répression policière. La bonne éducation des enfants est primordiale.
L’ordre et la justice sociale, ça commence par arrêter de récompenser ceux qui ne respectent rien et à ne pas pénaliser ceux qui sont honnêtes et respectueux des autres et de la loi.
Pigeons

POLITIQUE : « LANGEVINE A OUBLIÉ QUI A VOTÉ POUR ELLE ! »

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Dans le journal local, Madame LANGEVINE se satisfait de l’avancée du projet de LGV présenté par le gouvernement. Etonnant pour quelqu’un qui dit, dans la même interview, être opposée à la fusion des stations de ski parce que cela aurait un impact sur l’environnement. Madame LANGEVINE a vite oublié le Pays Catalan lorsqu’elle a obtenu sa vice-présidence.
Comment peut-elle se satisfaire d’un tel projet qui va coûter plus cher – 600 millions d’€uros – et défigurer notre plaine ? Aujourd’hui, le « développement du fret » qu’elle défend n’est rien d’autre qu’un terme pour désigner le fait que l’on charge des conteneurs de produits chinois ou autres qui arrivent au Port de Barcelone sur des trains et qu’on envoi de l’autre côté de l’Europe. Et nous, nous les regarderons passer…
Le développement durable et la lutte contre la pollution qu’elle était censée défendre commence au début de la chaîne de production, avec les usines situées à l’autre bout du monde qui ne respectent aucune règles environnementales et sociales. Ça commence par relocaliser la production pour éviter ces importations massives qui arrivent par cargos entiers… mais pour cela il faut remettre en cause le logiciel ultra-libéral adopté par ce qu’il reste d’EELV.
Alors, oui, nous aurons peut-être quelques camions de moins sur l’autoroute… mais nous aurons des trains qui passeront au milieu de notre vignoble et de nos terres agricoles et toujours pas de boulots !
Pour Debout la France, le fret c’est oui, mais pas à n’importe quel prix, pas au détriment de nos intérêts.
Question bonus : qu’elle sera la position de Madame LANGEVINE sur le futur gazoduc MIDCAT qui doit tout simplement traverser notre département ? La jouera-t-elle à pile ou face ?

POLITIQUE : DÉMISSION DE CHRISTIANE TAUBIRA

BANDEAU DLF

Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

L’Elysée a annoncé aujourd’hui la démission de Christiane TAUBIRA.
Femme de culture, l’ancienne Garde des Sceaux fut tout de même le symbole tout au long de son mandat de l’incohérence du gouvernement en matière de sécurité et de Justice.
Madame TAUBIRA est aussi responsable, de par sa politique pénale laxiste, de la montée de l’insécurité en France, dont les Français subissent les conséquences au quotidien. Suite aux pleins effets de sa loi, inspirée de la loi Dati, les individus condamnés à cinq ans ou moins de prison ne font pas une seule journée de rétention. Par cette idéologie laxiste, Madame TAUBIRA a toujours choisi son camp : celui de la compassion plutôt que celui de la sanction nécessaire ! Le gouvernement doit désormais clarifier sa position et acter que le temps du laxisme et des compromissions est révolu.
Localement, les décisions concernant l’avenir de la cité judiciaire de Perpignan sont mises en suspens et il nous faut encore et toujours attendre.

PERPIGNAN : ENCORE UN PROBLÈME À LA PRISON !

Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Samedi, un surveillant a été agressé lors du contrôle d’appel du matin par un détenu placé en quartier d’isolement. Nous apportons tout notre soutien au personnel pénitentiaire.
Cet énième incident à la prison de Perpignan démontre, s’il le fallait encore, que les conditions de travail du personnel pénitentiaire se dégradent.
Après 4 000 agressions physiques en 2014 répertoriées par l’administration pénitentiaire, 18 prises d’otages et 12 suicides, en France, les personnels pénitentiaires sont à bout.
Debout les P.-O. dénonce le manque de moyens et la surpopulation carcérale qui provoquent ces incidents. Nous demandons au gouvernement de remédier à ces deux problèmes avec la création de 20 000 places de prison et l’augmentation sensible des moyens financiers et humains afin que les surveillants de prison puissent mener à bien leur mission.

PERPIGNAN AVENUE D’ESPAGNE – UN POINT NOIR À FAIRE SAUTER

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

esp1Chaque soir, prendre l’avenue d’Espagne est un calvaire, que ce soit en sortant du travail, pour faire les magasins ou tout simplement pour traverser le secteur. Aux heures de pointe, il ne faut pas moins d’un quart d’heure pour parcourir cette route entre les ronds-points René Cassin (Quick-KFC) et des Arcades (Auchan-Renault).
La faute principalement au rond-point qui se situe au milieu de cet axe, au niveau de Gemo-Castorama, qui crée un ralentissement en déversant sur l’avenue des centaines de véhicules qui quittent les parkings des magasins. La faute également au fait qu’une partie de cet axe est en 1×1 voie alors que le reste est en 2×2 voies.
La solution (voir schéma) pourrait être la création d’un axe central direct et sans possibilité d’en sortir ou d’y entrer entre les ronds-points d’Auchan et de Quick, et la création de 2 voies parallèles, 1 de chaque côté, réservées à la circulation entre les différents parkings. On peut également envisager 2 ou 3 passages souterrains pour les piétons afin qu’ils puissent traverser en toute sécurité. En supprimant ce ralentissement, il serait plus facile de traverser en voiture ou en bus.
Il serait temps que la ville de Perpignan et la Métropole réfléchissent à solutionner ce problème.
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PERPIGNAN : AVANT LES FUSILS, DES ARMES AUTOMATIQUES !

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Vu les événements récents et le nombre de policiers municipaux décédés en service ces dernières années, force est de constater que les malfaiteurs ou les terroristes ne font pas la différence entre Police Municipale et Police Nationale.
Malheureusement, vu les difficultés auxquelles doivent faire face les fonctionnaires du ministère de l’intérieur (manque de moyens humains, matériels…), la complémentarité avec leurs collègues de la Territoriale est devenue une évidente nécessité. Certains Maires l’ont bien compris et consacrent une bonne partie du budget communal à la sécurité.
Toutefois, DLF rappelle que la sécurité des citoyens doit rester une prérogative de l’état régalien. Il n’empêche qu’à défaut d’armes longues (fusils d’assaut ou calibre 12), les Policiers municipaux devraient, au minimum, être équipés comme tous les autres acteurs de la sécurité (Police Nationale, Gendarmerie, Douanes …) de pistolets automatiques (9mm avec 2 chargeurs de 15 coups) en lieu et place des 6 coups actuels (38 SP). La riposte à une agression n’en serait que plus efficace, à condition bien entendu que la formation continue à l’usage des armes des agents soit digne de ce nom.

MÉTROPOLE – POLE GRAND OUEST : ON N’Y COMPREND PLUS RIEN !

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Nous apprenons la création d’un pôle Grand Ouest au sein de la Métropole Perpignan-Méditerranée. Ce grand pôle, nous explique-t-on, a vocation à renforcer les synergies entres les communes suite au passage de l’agglo en Communauté Urbaine qui récupère, au passage, de nouvelles compétences.
Ce pôle Grand Ouest doit également permettre « de créer une synergie dont l’objectif est la proximité et la réactivité. Unir nos forces, mutualiser nos moyens techniques (matériel, personnel, savoir-faire),selon les besoins de chacun et permettre aux maires d’être au plus près des besoins des habitants ».
Il semblerait tout de même que l’on se dirige vers un nouveau machin, dans lequel les citoyens ne sont définitivement plus décisionnaires mais spectateurs de décisions prises en dehors de tout cadre démocratique, entre quelques élus.
Le but de la Métropole n’était-il pas, déjà, de mutualiser les moyens des communes ?
Par la création de ce pôle, ces élus confirment bien une chose : la Métropole s’éloigne du terrain, des citoyens. Un besoin de proximité se fait sentir mais les réponses données aujourd’hui vont dans le mauvais sens : de nouvelles structures au-dessus des communes. Une couche supplémentaire sur le mille-feuille français. Ne peut-on jamais avoir de réponses plus simples ?
Ces élus ne voient l’avenir que par le rapprochement des communes. Alors, allons au bout de cette logique : FUSIONNEZ VOS COMMUNES !
Profitez de ce qu’autorise la nouvelle loi : fusionnez vos communes pour en créer de nouvelles, plus grandes, plus autonomes, avec plus de synergies, une politique unique, moins de négociations et plus d’actions. Ah bien sûr, il y aurait beaucoup, beaucoup moins de places pour les professionnels de la politique. Moins de communes, moins de mandats…

MÉTROPOLE : CHANGEMENT DE NOM ET DE LOGO DE L’AGGLO !

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Monsieur PUJOL souhaite consulter une agence, payante, pour le changement de nom et de logo de l’ancienne agglo transformée en Communauté Urbaine. Bien sûr, il a déjà fait la short-list et fixera certainement les principales lignes de la nouvelle identité. On notera tout de même son souhait très monomaniaque de vouloir mettre du « Méditerranée » partout : la région, la « métropole »… Bientôt les stations de ski des « Neiges Méditerranéennes » ?
Nous, nous souhaitons lui soumettre une idée totalement novatrice (pour lui) : associer les citoyens, et les services de communication des communes et de l’agglo, en organisant une consultation sur Internet. Cela se fait très souvent en France. Oui, oui on vous l’assure !
Cela pourrait passer par un sondage, en ligne, sur le nouveau nom de la collectivité territoriale et par le lancement d’un concours ouvert à tous pour le nouveau logo et la charte graphique.
Associer les citoyens aux décisions locales : un formidable voeux pour 2016, n’est-ce pas ?

DÉPARTEMENT : IL A BON DOS L’ÉTAT D’URGENCE !

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Samedi, un embouteillage monstre sur l’autoroute a été l’occasion pour certains esprits chagrins de dénoncer l’état d’urgence et les contrôles aux frontières, et de réclamer dans le même temps encore plus de contrôles, mais aux frontières de l’Union Européenne.
Or, il apparaît que cet embouteillage était le résultat d’un accident, du retour de vacances un week-end de 1er de l’an et de l’incivilité de certains chauffeurs.
L’Etat d’urgence et les contrôles aux frontières sont des mesures souhaitées par une large majorité de français, ils sont nécessaires pour, au moins, compliquer la tâche des criminels et délinquants qui ne peuvent plus faire leurs trafics sans crainte de se faire prendre. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que de nombreux pays ont rétablit les contrôles aux frontières nationales.
Je me permets de rappeler à ces personnes que sur l’avenue d’Espagne à Perpignan les embouteillages monstres sont quotidiens, notamment le soir, les week-ends et les jours de soldes, et pourtant, ici, pas de contrôles. Juste une question de plan de circulation et de gestion du trafic routier.

PERPIGNAN : PRESBYTÈRE : LE MAUVAIS DÉBAT !

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Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Concernant le projet de destruction/reconstruction du presbytère de Perpignan, nous avions donné notre position par communiqué le 12 novembre dernier : pourquoi pas, mais pas pour faire n’importe quoi à n’importe quel prix.
Aujourd’hui, les « opposants » de la mairie se mobilisent contre le projet pour des raisons architecturales principalement, mais la VRAIE question à se poser c’est : pourquoi la mairie lance un appel à concours pour un projet estimé à 2,5 millions d’euros TTC et annonce un projet final à 3,5 millions d’€uros TTC (sans compter le surcoût). Le conseil municipal de février 2015 avait pourtant acté un projet à près de 2 millions d’€uros HT et il n’était que de 1,5 millions d’€uros HT en novembre 2014.
Pour Debout la P.-O., la question du coût est primordiale en cette période de réduction des dépenses.
Quant à la question du style architectural du projet sélectionné, pourquoi ne pas laisser les perpignanais consulter les dossiers des autres candidats et les laisser voter ? Tout simplement.

RÉGIONALES : RÉSULTATS DU 1ER TOUR

Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »

Pour la première fois, Debout la France a présenté des candidats dans toute la France. Nous avons tout fait pour offrir un nouveau chemin politique « ni système, ni extrêmes ».
Damien LEMPEREUR, notre tête de liste régionale, et notre tête de liste départementale, Sébastien MENARD, remercient celles et ceux qui nous ont fait confiance lors de ce 1er tour.
Cette élection, une première pour DLF en Pays Catalan, était un test : nous avons triplé notre score de la Présidentielle et doublé notre score des Européennes !
Ce soir, avec 3,56% dans les P.-.O, notre liste départementale emmenée par Sébastien MENARD termine en 5ème place, devant la liste de Philippe SAUREL, et ce malgré une couverture médiatique largement inégale et inéquitable en faveur de ce dernier.
Notre fédération, réveillée il y a seulement 1 an, a prouvé grâce au terrain et aux réseaux sociaux que son projet politique était crédible et sérieux.
Notre mouvement réunira lundi à 10h30 son Bureau national, qui définira notre position pour le 2nd tour du scrutin.

RÉGIONALES : AUX URNES CITOYENS !

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France », tête de liste dans les P.-O.

Dimanche prochain les électeurs pourront décider de l’avenir de notre département lors des élections régionales. Le scrutin proportionnel permettra aux électeurs d’envoyer au Conseil Régional des élus DLF, ancrés dans la vie réelle. Chaque voix compte.
Chaque voix compte d’autant plus quand les rumeurs d’un retrait de la liste UMP de REYNIÉ au second tour deviennent de plus en plus insistantes et quand on sait que le FN ne passera pas devant l’union des gauches qui se tapent dessus aujourd’hui avant de fusionner après. 
Les électeurs veulent-ils un Conseil Régional avec une majorité socialo-écolo-communiste qui a prouvé son incompétence sur le dossier du chômage et du développement économique, fière de la métropolisation rampante de la région, et une opposition uniquement composée de frontistes qui s’opposent aujourd’hui et votent avec l’UMP après, comme ce fut le cas lors de la création de la métropole perpignanaise ?
Le 6 décembre, les électeurs auront le choix et la possibilité d’envoyer à Toulouse un groupe d’élus « ni système, ni extrêmes », sans professionnels de la politique et sans incompétents qui ne doivent leurs places sur les listes qu’à leurs relations personnelles, comme au PS et à l’UMP !
DLF à un programme régional concret et pour le Pays Catalan nous faisons des propositions elles aussi très concrètes : la région catalane et la défense des territoires ruraux et des villes moyennes, le développement du port de Port-Vendres, le soutien aux PME/PMI, agriculteurs, viticulteurs, pêcheurs, commerçants, artisans, … face à la concurrence déloyale, le soutien au monde sportif amateur qui va être sacrifié, la sécurité aux abords des lycées et dans les trains, la formation et l’apprentissage, ainsi que notre projet de « pôle régional pour la transition énergétique » sur Perpignan équivalent à celui de l’aéronautique à Toulouse et à celui de la recherche universitaire à Montpellier, ou encore notre soutien à un « Train Jaune service public » au service du développement de la Cerdagne.

Le 6 décembre, nous appelons TOUS les électeurs à se mobiliser !

POLITIQUE : LUTTE CONTRE LA CORRUPTION

BANDEAU DLFPar Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »

Samedi 7 novembre, notre tête de liste départementale, Sébastien MENARD, assistait à la réunion publique de la section départementale d’ANTICOR.
L’occasion de rappeler que, au-delà du programme, la lutte contre la corruption et le clientélisme est la priorité absolue de nos candidats DEBOUT LA FRANCE.
Pour moraliser la vie politique, DLF propose de rendre inéligible les élus et candidats condamnés pour corruption, détournement de fonds publics, trafic d’influence, etc… en rendant obligatoire la présentation d’un casier judiciaire vierge lors du dépôt des candidatures. Il faut également donner à la justice et aux préfets les moyens nécessaires pour lancer des enquêtes et condamner les tricheurs en toute indépendance, sans intervention politique. Enfin, DLF propose déjà à ses candidats et aux élus qui le souhaitent des formations pour apprendre à dépister les malversations et à mieux déceler, par exemple, les infractions aux règles de l’urbanisme ou le favoritisme dans l’attribution de marchés publics.
Dans une région, souvent épinglée par la Chambre Régionale des Comptes pour ses étranges frais de communication notamment, ces élections régionales seront l’occasion d’envoyer au Conseil Régional des élus animés par cette moralisation de la vie politique.

POLITIQUE : MONTPELLIER A SAIGNÉ PERPIGNAN, LE DUO TOULOUSE- MONTPELLIER VA LA DÉPECER !

BANDEAU DEBOUT LA FRANCEPar Sébastien MENARD Délégué Jeunes de Debout les P.-O.

C’est de plus en plus concret : Toulouse et Montpellier se partagent les directions régionales, les institutions politiques et donc, à terme, se partageront la puissance financière de la Région. Perpignan, 3ème aire urbaine de la nouvelle région derrière les deux métropoles et devant Nîmes, ne bénéfice pas de ce soi-disant « équilibre » dans la répartition des centres de décisions.
Montpellier à saigné Perpignan pendant 40 ans, c’est désormais au tour du duo Toulouse / Montpellier de dépecer sa carcasse.
Dans les P.-O., c’est incroyable : toujours aucune réaction de nos élus carpettes, pas un seul ne se manifeste pour réclamer une égalité de traitement, pour dénoncer le duopole des métropoles qui enfonce de plus en plus les autres départements, ou pour tenter -au moins- de faire exister le pays catalan dans cette région.
De fait, DLF66 constate la démission collective du pauvre personnel politique local et invite les électeurs à soutenir Damien LEMPEREUR, tête de liste régionale en terres Occitanes et Catalanes pour les prochaines élections, qui défendra la ruralité et les villes moyennes et dénoncera une métropolisation/régionalisation toujours plus éloignée des citoyens.
Localement, Debout les P.-O. présentera la seule liste qui défendra le principe d’un statut particulier pour notre département afin de disposer des outils et d’une démocratie moderne pour développer notre territoire. Seul un groupe d’élus indépendants « ni Système, ni Extrêmes » pourra entendre et défendre les intérêts des catalans.
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