La Tour Bas Elne
LÉGISLATIVES 2ème CIRCONSCRIPTION DES P.-O. : RÉUNION PUBLIQUE DE LA « FRANCE INSOUMISE » À LATOUR BAS ELNE

Par Francis DASPE, co-secrétaire départemental du PG 66
Les groupes d’appui de « La France Insoumise » de la 2ème circonscription des Pyrénées-Orientales, mouvement qui a accompagné la candidature de Jean-Luc Mélenchon aux élections présidentielles de 2017, organisent une réunion publique mardi 16 mai 2017 à Latour Bas Elne, salle des fêtes rue Saint-Jacques, à 19 heures.
Catherine DAVID (titulaire) et Jean-Noël CLANET (suppléant), candidats de La France Insoumise qui bénéficient du soutien exclusif de Jean-Luc Mélenchon, engageront un débat sur le programme « L’avenir en commun « .
Dans l’objectif de constituer une majorité législative autour de La France Insoumise, il s’agira de convaincre nos concitoyens que les solutions proposées sont de nature à répondre à l’urgence économique, sociale, écologique et démocratique.

POLITIQUE : PRESENTATION DES CANDIDATS FN-RBM66 DU CANTON 12
Communiqué de présentation de Jean-Philippe Gaulard et Dominique Régnier, candidats FN-RBM66 sur le canton 12 – Plaine d’Illibéris
Les 22 et 29 mars 2015, vous serez appelés à élire vos nouveaux Conseillers territoriaux qui représenterons le canton Plaine d’Illibéris au sein de l’Assemblée Départementale.
Ce nouveau canton comprend les communes suivantes :
Alénya, Bages, Corneilla-Del Vercol, Elne, Latour-Bas-Elne, Montescot, Ortaffa, Théza, Villeneuve-de-la-Raho.
« La vie politique a besoin de sang neuf, d’une autre vision moderne et efficace, loin du confort de nos élus aux multiples mandats électoraux qui empêchent l’audace et le réformisme courageux caractérisant les rangs tant du Front national que ceux du RBM.
Nous nous engagerons fortement et particulièrement dans les domaines de compétences suivants :
Pour une meilleure insertion sociale des personnes handicapées.
Sur l’accompagnement des personnes âgées dans leur maintien à domicile, dans la création et la gestion des maisons de retraite.
Pour une meilleure gestion de nos collèges tant dans la construction, l’entretien que l’équipement.
Ainsi que défendre et assurer la protection de notre patrimoine culturel en agissant, sur nos bibliothèques, musées et archives départementales.
Influer et intervenir pour accorder directement ou indirectement des aides au développement économique.
Issus de la société civile et membres du bureau politique du FN66, nous avons décidé de nous porter candidats sur notre canton. Nous apporterons une double compétence : Une connaissance approfondie du canton, tant dans sa géographie que ses habitants, étant dans un contact journalier avec sa population, ainsi qu’une grande expérience dans l’approfondissement des projets de leur élaboration jusqu’à leur réalisation.
L’envie est là et nous avons de grandes ambitions pour notre canton avec vous, grâce à vous ».
Jean-Philippe GAULARD – Dominique REGNIER
plaine.illiberis.fn66.rbm@sfr.fr
LATOUR-BAS-ELNE : salon de l’auto d’occasion
Sainte Rita racontée par André Bonet
Conférence littéraire à l’église de La Tour-Bas-Elne
Ceux qui connaissent André Bonet ne seront pas étonnés de cette passion pour Sainte Rita qui habite le Président du Centre Méditerranéen de Littérature. Rattrapé par la foi il y a quelques années déjà, c’est grâce à Jean-Marie Vianney, dit le Curé d’Ars (1786-1859), qu’André Bonet a « été ramené sur ce chemin là », après « un passage à vide dû à des blessures personnelles. J’ai décidé de me rendre à Ars-sur-Formans et j’ai marché sur ses traces pendant des années, je suis même devenu ami avec l’évêque du Diocèse ». Hasard de la vie ou main de Dieu selon les croyances de chacun, André Bonet a découvert Rita de Cascia alors qu’il donnait une conférence sur le Curé d’Ars, précisément le jour de la fête de cette Sainte qui allait inspirer sa vie.

C’est l’ami de 30 ans, Adel M’zouri, Conseiller Municipal de la Tour-Bas-Elne qui présente André Bonet et ouvre la conférence sur Sainte Rita.
C’est à l’initiative de cet ami de trente ans qu’est Adel M’Zouri, vêtu cette fois de son costume de Conseiller Municipal de La Tour-Bas-Elne et non de celui d’Aznavour qu’il interprète avec un tel talent sur toutes les scènes du département, que l’homme de lettres, passionné par cette Sainte au destin hors du commun, présentait devant une trentaine de personnes son dernier ouvrage « Prier 15 jours avec Sainte Rita » (Nouvelle Cité) dans la charmante petite église St Jacques nichée au centre du village.
Etrange vie en effet que celle de Ste Rita, étrange et fascinante à la fois, mais aussi mouvementée et tragique. Née en 1381, à Roccaporena en Italie près de Cascia en « verte » Ombrie, Rita, qui est peut-être le diminutif de Margherita, est la fille unique d’Antonio Lotti et d’Amata Ferri, à la déception de son père qui aurait préféré un solide gaillard pour travailler aux champs. Dès le début de sa vie, elle sera confrontée aux dangers de la mort. Tout d’abord ce berceau posé dans les champs sous un essaim d’abeilles qui entrent dans sa bouche et en ressortent sans la tuer, en sera le premier signe. Plus tard, elle se mariera avec un homme brutal qui lui est inconnu, imposé par son père et qui mènera une vie de débauche. Très vite elle aura deux jumeaux qui transformeront ce mari en homme vertueux qui prendra conscience de la beauté et de la fragilité de sa femme, ce seront les mois les plus heureux dans la vie de Rita. Hélas de courte durée, cet époux devenu parfait sera assassiné dans des conditions abominables. Cette femme, qui venait déjà d’enterrer son père et sa mère, reprend le chemin du Cimetière. Mais le sort s’acharne et ce sera au tour de ses deux enfants de succomber d’une épidémie, probablement de la peste.
Une femme profondément marquée par la souffrance qui continue à accepter son destin et qui se sent portée vers le Monastère, elle devient religieuse au couvent de Cascia, après bien des réticences de la part de la congrégation qui finit par l’accueillir. Son passé n’existe plus, une vie nouvelle s’ouvre à elle mais elle sera humiliée par la Mère Abbesse pour éprouver son don d’obéissance, qui est une des règles absolues des Augustiniennes. Elle demandait dans ses prières à partager une infime partie des souffrances du Christ, prières exaucées puisqu’elle sera « transpercée par une épine du Christ » qui la fera souffrir les quinze dernières années de sa vie. Cette épine va être contagieuse aux yeux des religieuses, à tel point que son front va dégager des odeurs insupportables. Elle se retrouvera mise en quarantaine au fond du monastère dans une cellule obscure où elle finira sa vie dans une souffrance totale, sans même avoir la force de monter sur sa paillasse pour dormir. Elle mourut en 1457 à l’âge de 76 ans, âge canonique pour l’époque.
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