Catalanité
PYRÉNÉES-ORIENTALES : LES ACTIVISTES CATALANS SE REBIFFENT CONTRE LREM
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Déçus les catalanistes intégristes par l’orientation de politique étrangère de « La République En Marche » ? C’est le cas si on en juge par le courrier cinglant adressé par l’un d’entre-eux au Délégué Général LREM Christophe Castaner, clairement en faveur d’une Europe Fédérale qui pourtant deviendra celle des régions, donc donnant une audience directe à cette catalogne rêvée comme réunie et autonome par ses soutiens …
Didier ALLIZARD
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SAINT HIPPOLYTE : GRANDE « CALÇOTADA » DE BONANÇA
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Dimanche 11 mars
Gymnase de Saint Hippolyte
Vous le savez, notre association est dédiée à la mise en valeur du patrimoine catalan : barques catalanes, barraca en sanills, entretien de l’environnement de l’étang, cuisine catalane…
En ce mois de mars, nous vous proposons une grande calçotada, ouverte à tous. Notre objectif est bien sûr de vous offrir une journée de convivialité et d’amitié, autour de cette rencontre culinaire catalane, mais aussi par votre participation financière, de permettre d’apporter la touche finale à la réhabilitation de la « mouette », barque d’étang construite en 1934 au Barcarès par le chantier naval Calvet.
Le menu :
Apéritif, calçots avec sa sauce, grillade (saucisse et rognonal d’agneau) avec son aïoli, fromage de chèvre de Matemale, bougnette, mandarine, café, vin et porro de muscat.
Pour faire joli et ne pas vous salir, nous offrons à chaque convive un magnifique « pitet » (bavoir) décoré qui vous ravira.
N’oubliez pas d’apporter vos couverts.
Combien cela coûte ? : 25 €uros par personne
Comment s’inscrire ?
Par téléphone : Thierry 07 79 82 97 19 ou par courriel tderoussent@free.fr
Puis confirmer votre inscription en payant par chèque votre réservation.
Adresser votre chèque à l’adresse suivante :
Association Bonança, mairie, 3, avenue Paul Riquet, 66210 Saint Hippolyte ou passer le déposer directement à la mairie, ouverte du lundi au vendredi de 10 h à 17h.
Ne tardez pas à vous inscrire, le nombre de places est limité.
Alexis BASTIDE
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CATALOGNE : « UNE ATTITUDE SECTAIRE DES INDÉPENDANTISTES SOUTENUS PAR L’EXTRÊME-GAUCHE »
Par Louis Aliot, Député des Pyrénées-Orientales, Conseiller Municipal et Communautaire de Perpignan, Vice Président du Front National
« J’observe avec une grande inquiétude l’évolution politique espagnole dans sa province de Catalogne. Sans vouloir intervenir dans la souveraineté d’un pays étranger ami, nous ne pensons pas que le gouvernement européiste de Monsieur Rajoy ait pris les meilleures résolutions pour apaiser la situation. L’intransigeance ne fait pas une politique. Il est à noter que le PP espagnol soutenu par l’Europe technocratique de Bruxelles porte une grande responsabilité dans ces évènements. En effet, la politique européenne en soutenant les revendications régionalistes ou séparatistes ont placé certains États de l’Union dans des situations intenables.
Attaché à l’État de Droit et aux principes constitutionnels qui sont la base de toute action politique et démocratique, je regrette l’attitude sectaire des indépendantistes soutenus par l’extrême-gauche catalane totalitaire et antidémocratique qui ont initié ce processus contre une décision de justice constitutionnelle.
PAR AILLEURS, JE CONDAMNE L’ATTITUDE IRRESPONSABLE DE CERTAINS ÉLUS DES PYRÉNÉES-ORIENTALES
visant à intervenir activement et directement dans les affaires internes conflictuelles d’un autre pays ami, surtout par l’entremise et avec le soutien de certains anciens responsables du Front d’Alliberament Català (FAC) organisation indépendantiste et marxiste-léniniste ou bien membres d’organisations considérées comme terroristes telle que l’ex-Terra Lliure…
Nous attendons une réaction des pouvoirs publics sur cette affaire et appelons nos amis catalans attachés à l’identité et à la culture à la plus grande prudence dans un contexte compliqué où toutes les manipulations sont possibles.
C’est par le dialogue et la négociation que le problème catalan sera désormais résolu et non pas par la négation du Droit, l’intimidation de certains groupes extrémistes ou des provocations inutiles.
Nous considérons qu’après ce dimanche noir, Madrid doit tout tenter pour apaiser les tensions et tendre la main aux catalans dans le respect de la souveraineté de l’Espagne et de l’identité catalane.
La paix et la concorde demandent des efforts réciproques de toutes les parties au conflit. C’est notre souhait le plus cher pour nos amis espagnols et catalans. »
CATALOGNE DU SUD : LE PG APPELLE À LA SÉRÉNITÉ
Par Francis DASPE, co-secrétaire départemental du PG 66

Le Parti de Gauche 66 n’a pas pour habitude d’interférer dans les affaires internes des Etats souverains. Les derniers épisodes des événements se déroulant en Catalogne le conduisent à déroger à la règle.
Le PG 66 dénonce la réaction disproportionnée du gouvernement Rajoy, qui se place en contradiction avec les impératifs démocratiques les plus fondamentaux. C’est aboutir à une impasse politique qui, au final, favorise de fait les enfermements symétriques des jusqu’au-boutistes des deux camps.
Pour autant, le PG 66 exprime sa distance avec le mouvement indépendantiste qui se développe en Catalogne. Le meilleur (aspirations républicaines sincères) y côtoie hélas trop souvent le moins avouable (nationalisme identitaire étroit, égoïsmes économiques récusant l’idée de solidarité territoriale).
Enfin, il dénonce également toutes les tentatives de récupérations et d’instrumentalisations à des fins bassement électoralistes et politiciennes. Ces tentatives prolifèrent davantage de manière (apparemment) paradoxale du côté Nord des Pyrénées…
Le débat sur la Catalogne mérite davantage de sérénité et de raison.
ATTENTATS EN ESPAGNE : LA LISTE S’ALLONGE MAIS L’INACTION DEMEURE !
Communiqué de France Jamet, Députée française au Parlement européen, Membre du Bureau Politique du Front National, Présidente du Groupe des Élus Front National-RBM, au Conseil Régional d’Occitanie.
Suite au double attentat islamiste, France Jamet et les élus du groupe FN-RBM au Conseil régional d’Occitanie expriment toute leur solidarité au peuple espagnol et à la région de Catalogne avec qui nous avons des liens historiques et culturels très forts. Nos pensées vont également à nos compatriotes blessés dont une dizaine se trouve dans un état grave.
L’immigration massive et le renoncement à toute politique d’assimilation ont contribué à l’implantation de foyers islamistes voulant éradiquer nos enfants, nos familles, notre mode de vie, notre identité. Notre inquiétude est d’autant plus grande que la Région Occitanie, avec des départements tels que la Haute-Garonne, l’Hérault et le Gard, est devenue une terre de radicalisation islamiste enregistrant de tristes records en 2016.
Paris, Nice, Manchester, Londres, Bruxelles, Stockholm, Berlin, Hambourg, Barcelone…La liste des villes endeuillées ne cesse de s’allonger tandis que les dirigeants européens persistent dans leur logique immigrationniste et leur mythe sans-frontiériste. Il est grand temps que les pouvoirs publics sortent de leur hypocrisie en osant enfin nommer le mal islamiste et passent de la compassion médiatique à l’action politique. La restauration des contrôles aux frontières nationales, l’arrêt de la politique européenne des quotas de migrants, l’expulsion des fichés S pour radicalisation islamiste, la fermeture des mosquées salafistes, la déchéance de nationalité pour les djihadistes bi-nationaux partis au Moyen-Orient, sont autant de mesures qui nous permettront d’en finir avec l’Islam radical.
POLITIQUE : LA PRÉSIDENTE MALHERBE APPROUVE « OUI AU PAYS CATALAN »
Communiqué d’OPC
La Présidente du Conseil départemental des Pyrénées-Orientales, a annoncé son intention, le 17 octobre, de changer le nom du département. Hermeline Malherbe envisage la dénomination Pays Catalan. Notre mouvement politique citoyen, protecteur d’un territoire menacé par l’Occitanie, en prend acte. Ce revirement socialiste, tactique et tardif, est le fruit de nos actions de résistance à l’hémégonie régionale, dirigée depuis Toulouse.
Souvenons-nous que Madame Maherbe et le Conseil départemental défendaient le nom « Occitanie – Pyrénées Méditerranée », en juin dernier ! Ce changement d’attitude est la victoire des très nombreux citoyens engagés, notamment dans l’élan identitaire que nous avons suscité. Nous espérons désormais que le Département assumera enfin son rôle en se plaçant au service du territoire, sans calculs partisans, dans l’intérêt de tous. Nous nous félicitons des décisions visant à préserver la personnalité du Pays Catalan et son avenir économique, social et culturel.
Le nom n’est pas tout
Cependant, nous mettons en garde la Présidente Malherbe : aujourd’hui, le Pays Catalan est encore plus marginalisé par Toulouse qu’il ne l’était hier par Montpellier. Le département est vidé de ses compétences et Paris a décidé de sa disparition en 2020 avec la loi NoTRE. Par conséquent, le nom est symboliquement important, mais l’enjeu réel est notre transformation en Collectivité Territoriale Unique (CTU), comme le Grand Lyon et la Corse. Nous appelons l’ensemble des élus à se mobiliser pour doter le Pays Catalan des moyens institutionnels garantissant un meilleur avenir à ses habitants.
IL NE MANQUAIT PLUS QUE ÇA !!! (NDLR)
POLITIQUE – CONGRÈS FONDATEUR DE « OUI AU PAYS CATALAN » : »LES BASES DE L’AVENIR »
Le congrès fondateur de notre force politique s’est déroulé ce samedi 15 octobre au Mégacastillet, à Perpignan. Cet événement issu des mobilisations populaires de cette année 2016 a attiré 250 personnes, un premier socle de membres auquel s’ajoute une centaine d’adhésions sur Internet. Dans une ambiance de grande ferveur territoriale ont été présentés et approuvés les statuts et les fondamentaux d’OPC :
#1. Stopper le clanisme et le clientélisme
#2 Décentraliser le pouvoir à Perpignan
#3. Dynamiser l’économie
#4. Partager notre identité
Le conseil directeur d’OPC, composé de 14 personnes de 31 à 63 ans, chargées du développement du mouvement, a également été présenté et validé par l’assistance.
Cette instance rassemble :
– Jean-Luc Pujol , 58 ans, maire de Fourques, vigneron, vice-président de la Chambre d’Agriculture du Roussillon
– Agnès Parayre , 48 ans, maire de Lamanère, penchée sur l’agriculture et les nouvelles technologies.
– Annabelle Brunet , 40 ans, avocate en droit des affaires, maire-adjointe de Perpignan, conseillère départementale
– Pierre Bataille , 56 ans, maire de Fontrabiouse, gérant de société et artisan dans le secteur du bâtiment
– Jean-Marie Roger , 46 ans, président de la coopérative maraîchère Plaine du Roussillon
– Philippe Simon , 33 ans, cadre commercial dans le bâtiment, trésorier de club sportif
– Jordi Vera , 63 ans, président de Convergence Démocratique de Catalogne (CDC)
– Georges Francès , 49 ans, technicien énergie atomique
– Joaquin Fernandez , 31 ans, chef d’atelier dans le domaine maritime, promoteur d’une économie juste et du respect de l’identité catalane
– Alexis Abat , 58 ans, retraité de la Police nationale, représentant syndical
– Nathalie Denis , 40 ans, directrice d’un commerce de vêtements féminins à Perpignan
– Terenci Vera Grau , 40 ans, enseignant engagé dans l’aménagement durable
– Fabienne Meyer, 50 ans, cadre dans une société financière, engagée dans le développement économique du Pays Catalan
– Damien Albanell , 39 ans, fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, entraîneur de football à Villelongue de la salanque
Interventions : extraits choisis
Jean-Luc Pujol a souligné que « certains de nos petits élus sont habitués à ramper face au clanisme et au clientélisme. Il faut se redresser. Il faut se prendre en main ». Le maire de Fourques a prévenu : « Je ne suis pas un révolutionnaire ni un dangereux extrémiste. Il s’agit d’obtenir le droit de décider de notre avenir. Montpellier et Toulouse n’ont jamais agi avec force pour nous. Jamais.
Jean-Marie Roger a imputé le « problème du Pays Catalan » aux élus que nous avons choisis, car le manque de vision stratégique est notoire». Il a ajouté : « Le béton ne doit pas condamner l’avenir agricole. Faire croître notre population pour compenser la baisse de la dotation de l’Etat aux communes, est une folie ».
Annabelle Brunet a résumé : « notre projet est économique, identitaire, politique.
Jordi Vera a conclu : « sans économie, il n’y a pas de vie sociale, pas de vie culturelle, pas de vie tout court ».
OPA souhaite affirmer le Pays Catalan dans le contexte imposé par la région « Occitanie. L’objectif est de créer à Perpignan une Collectivité Territoriale Unique (CTU), dans le cadre de la République Française, selon l’article 72 de la Constitution.
Le 26 octobre sera organisée une première réunion décentralisée, au Centre la Baillie d’Arles sur Tech, suivie d’une deuxième, le 3 novembre en Cerdagne.





MATCH ALIOT vs « OUI AU PAYS CATALAN – RÉPONSE AUX USURPATEURS ET ‘NÉO-CONSERVATEURS’ DU PAYS CATALAN : « JE SUIS TOUT AUSSI CATALAN QUE VOUS ! »
Par Louis Aliot
Le « pays catalan » n’appartient pas à celles et ceux qui se prévalent de ce nom sans jamais avoir mené une politique susceptible de défendre et de faire vivre l’identité catalane dans toutes ses composantes artistiques, culturelles, linguistiques et historiques.
Les mêmes qui s’agitent comme des petits diables en tentant de me diaboliser sur le sujet sont ceux qui depuis des décennies ont tout accepté en matière d’immigration et de renoncements en tout genre. Ils ont livré nos terroirs et notre territoire à une immigration extra-européenne sans limite qui menace notre identité et ils ont participé à des majorités qui ont conduit notre département et notre belle ville de Perpignan à être les plus pauvres et les plus en difficulté de France.
Chômage, ruine de notre agriculture, dette abyssale, gaspillage de l’argent public, artisanat et commerce en berne, entreprises en difficultés, services publics défaillants… voilà le bilan de ces catalanistes qui osent donner des leçons !
Balayez devant votre porte et sachez que je suis tout autant que vous, et sûrement plus, un défenseur de l’authentique pays Catalan, enraciné, fier et Français par dessus tout !
POLITIQUE – ALIOT ET LE FN : ÇA CONTINUE !
Communiqué de « Oui au Pays Catalan »
Une force politique nouvelle, large et de rassemblement, naîtra lors du Congrès de fondation de « OUI AU PAYS CATALAN ». Cet événement ouvert à tous se déroulera le 15 octobre à 15 heures au Mégacastillet, à Perpignan.
Ce parti politique sera issu de la volonté de centaines de Catalans ayant la ferme intention de résister à l’écrasement de notre territoire par l’Occitanie. Il s’agit de se battre politiquement pour défendre notre espace géographique et proposer une alternative à l’abandon que proposent les partis du système en place. Cet élan populaire, constructif et rassembleur, fait grincer des dents le vice-président du Front National, Louis Aliot. L’Ariégois traite d’ »d’indépendantistes » les personnes mobilisées par le devenir de notre territoire.
Depuis son parachutage chez nous, M. Aliot a multiplié les agressions contre notre culture et notre identité, par ses déclarations et ses votes en assemblée. Monsieur Aliot, être catalan ne relève pas du folklore, barretina incluse, pour amuser vos amis jacobins de Paris. Vous ne nous comprenez pas, vous voulez nous faire disparaître, mais les Catalans ne l’accepteront jamais. Uni à l’immobilisme aux forces immobilistes des Pyrénées-Orientales, vous faites pression et tentez nous confondre. C’est peine perdue : dans notre Pays Catalan, l’envie de construire, l’envie d’avenir et de changement sont plus forts que le mépris, l’abandon et le centralisme dont vous êtes le porte-parole.
POLITIQUE : INSCRIPTIONS AU CONGRÈS FONDATEUR DE « OUI AU PAYS CATALAN »

Le territoire des Pyrénees-Orientales est effacé par une région « Occitanie » qu’il n’a pas choisie. Son avenir, son économie et son identité méritent une force politique nouvelle, « Oui au Pays Catalan », fruit des mobilisations populaires de 2016 à Perpignan.
Cette entité orientera le destin d’un territoire, dans le cadre de la République Française. Son congrès fondateur, ouvert à tous, se déroulera le samedi 15 octobre à 15h à l’Université de Perpignan.
Oui au Pays Catalan agira avec détermination pour qu’un Statut de Collectivité Territoriale Unique (CTU) soit attribué à notre entité géographique millénaire comprenant le Roussillon, le Conflent, le Vallespir, la Cerdagne, le Capcir et le Fenouillèdes : un projet territorial, moderne, déconnecté de l’Occitanie, issu de l’article 72 de la Constitution.
Ce rassemblement, novateur et politiquement transversal, s’appuiera sur un nom reconnu, comme le Pays Basque, et sur une identité dynamique, qui unit et fédère. Il reposera sur une communauté soudée et solidaire, aux origines diverses. Il saura compter sur un peuple fier, qui a droit au respect et à la parole, pour un avenir positif.
Permanence de Oui au Pays catalan, 9, rue Camille Desmoulins, 66000 Perpignan
(quartier Clemenceau / Leclerc) :
06 75 74 25 49 – 04 68 35 34 54
contact@ouiaupayscatalan.com
DÉPARTEMENT : « OUI AU PAYS CATALAN » : LES MASQUES TOMBENT !
Communiqué Louis ALIOT, député européen (FN-RBM), conseiller municipal et communautaire de Perpignan
« La presse nous apprend ce jour la création d’un nouveau parti politique qui détourne à des fins politiciennes la préoccupation populaire et légitime de défense de la culture catalane française.
Voilà le vrai visage des pseudo-défenseurs de la catalanité en Roussillon. La manipulation organisée par ces « indépendantistes » est aujourd’hui avérée. Une élue de la fausse droite de Perpignan, adjointe et conseillère départementale UDI, alliée à un ancien élu socialiste (dont il faudra bien un jour parler de son passé) appartenant à une formation catalane espagnole et à un autre élu centriste. Sous couvert de la protection de l’identité catalane, ils ne développaient qu’une stratégie partisane et personnelle et ont profité de la trahison socialo-écolo-communiste de l’équipe DELGA, pour mobiliser des centaines de personnes aujourd’hui trahies par la création d’un parti politique autonomiste.
La France est une et indivisible ce qui permet à chacune des cultures enracinées de trouver leur place dans notre beau pays, ouvert et rassemblé.
La création de ce parti, en catimini et sans concertation, aura eu le mérite d’ouvrir les yeux à toutes celles et ceux qui ont participé à cette manifestation identitaire et culturelle sans esprit partisan et qui se retrouvent aujourd’hui otages de cette folle ambition.
Cette énième manipulation politicienne sur le sujet démontre que nous sommes le dernier rempart de la République Française sur ce territoire, les seuls à défendre l’enracinement, les traditions, la culture au sein d’une Nation fière de son héritage et de ses diversités locales.
Ces « séparatistes », « nationalistes », « autonomistes » ou « indépendantistes » servent consciemment ou inconsciemment le projet de destruction des nations porté par les tenants d’un mondialisme marchand et financier prédateur de tout ce qui enracine l’être humain. Et l’immigration qu’on nous impose fait partie de cette stratégie.
Que ces gens-là se présentent aux élections sous leur bannière et que les partis LRPS – Les Républicains (LR) et Parti Socialiste (PS) – arrêtent de leur donner une tribune comme à Perpignan alors qu’ils représentent peu et contribuent à l’esprit de division qui affaiblit la France. Le peuple verra alors s’ils ont le courage d’affronter la démocratie en défendant leurs positions antirépublicaines.
Nos compatriotes du Roussillon peuvent compter sur nous pour défendre notre identité et nos racines, dans une France forte, face aux agents locaux de la soumission et de la division nationale ».
POLITIQUE : RÉPONSE AUX MENSONGES ET MANIPULATIONS DES INTÉGRISTES CATALANS
Communiqué de Louis Aliot – Député européen – Conseiller municipal et communautaire de Perpignan
Il y a une grande différence entre défenseurs de l’identité catalane et catalanistes intégristes.
Je ne pense pas que poser des panneaux « pays catalan » fasse avancer la cause de l’enracinement catalan, pas plus que de se mettre sous la bannière d’un parti politique catalano-espagnol, qui comme la girouette, s’oriente en fonction des vents…
Je suis français et catalan d’adoption, je n’ai pas à recevoir de leçons des professionnels de l’agitation catalane bien relayés par la presse locale. Seules les urnes sont souveraines !
Que ces personnes et mouvements se présentent aux élections sous leurs bannières propres, et qu’ils soient assez sincères pour défendre un projet autonomiste ou indépendantiste qu’une grande majorité de nos concitoyens refusent.
Pour moi, défendre l’identité est un projet de vie, de défense d’un patrimoine, de traditions multiséculaires, d’une culture aujourd’hui menacée par une immigration de masse d’origine extra-européenne, dans une nation qui malheureusement n’assimile plus.
Républicain, je défends l’unité et l’indivisibilité de la république française et ne me trompe pas de combat et de priorité. Les Français de culture catalane ne préserveront leur identité propre que dans une France forte, et cette défense intelligente d’un enracinement riche et populaire contribuera à conforter notre identité nationale, face à une mondialisation marchande et financière hostile à toutes formes d’enracinement.
Catalans d’accord, mais Français d’abord !
LOUIS ALIOT : « La Generalitat fait de l’agitation sur le territoire français »
L’élu local n’y va pas par quatre chemins, « Tout ça est instrumentalisé par des groupes catalanistes barcelonnais, Monsieur Vera (CDC) est financé par un pays étranger, c’est la Generalitat de Catalogne qui le paie pour faire de l’agitation dans notre département, sans que les autorités françaises ne disent quoi que ce soit ! », rappelant que Jordi Vera a été l’allié du PS avec Jacqueline Amiel-Donat, puis de l’UMP aux dernières élections pour placer l’intégriste Brice Lafontaine. « N’allons pas nous mêler de ce qu’il se passe au-delà de la frontière mais je ne veux pas que les gens de là-bas viennent se mêler de nos affaires ». Quant à l’impact des catalanistes, Louis Aliot le rappelle, « quand ils se présentent ils font 0.5% ! », sans oublier d’insister sur le fait qu’aux Départementales le FN a été le 1er parti dans les P.-O. devant le PS et LR, et qu’aux Régionales, si le Languedoc-Roussillon était resté seul, il serait Président de Région ! « Nous avons battu Madame Delga, qu’ils se mettent bien ça dans la tête tous ceux qui s’agitent avec des panneaux et des banderoles, c’est la politiciennerie » complète-t-il très remonté… Sans oublier de rappeler que « si les intégristes catalans demandent l’autonomie des P.-O., personne d’autre ne la réclame » !.
Tant qu’on y est, pourquoi pas l’autonomie du quartier de La Cobas ?…
Lire l’article complet :
http://www.directsud.eu/?p=32992
LOUIS ALIOT : « Les Catalans et les Français de moins en moins nombreux sur leurs territoires »
Louis Aliot dénonce l’avalanche de panneaux qui fleurissent dans l’entrée des villes, « sur Perpignan 1 mètre 50 sur la longueur à présent, ça devient carnavalesque ! » se moque-t-il ! « La meilleure manière de défendre le Pays Catalan c’est d’abord de défendre son identité avec une réalité sur le terrain, pas de se battre pour des panneaux ! Il est curieux de voir que les mêmes qui se battent sont les mêmes qui sont partisans d’une immigration de masse, extra-européenne et donc extra-catalane ! C’est vrai que les Catalans seront de moins en moins nombreux dans notre département, comme le seront les Français, de moins en moins tout court d’ailleurs… ». Tout en précisant que « si je me bats pour l’identité française, en même temps je me bats pour l’identité catalane, je n’oppose pas l’une à l’autre, l’une est constitutive de l’autre. Les Catalans devraient réfléchir à leur histoire, depuis que le sang des Catalans, commandé par un Catalan, le Maréchal Joffre, s’est mélangé aux autres sangs des autres contrées françaises il n’y a plus de sujet catalan, c’est un sang français« . Et de tâcler le très catalaniste Jaume Roure qui déclare que « le sang catalan coule dans ses veines ». « Je ne savais pas qu’il y avait un sang catalan, maintenant je le sais avec lui ! Moi je me bats pour la France et pour l’identité française« s’offusque Louis Aliot.
Lire l’article complet :
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MANIFESTATION DU 10 SEPTEMBRE : 10.000 MERCIS !
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Le Comité Oui au Pays Catalan remercie les 10.000 participants (entre 5 et 7000 selon d’autres observateurs… – NDR) de la grande manifestation organisée samedi 10 septembre à Perpignan. Ce rassemblement historique, largement médiatisé de Paris à Barcelone, a été rendu possible par la présence du pays profond. Les anonymes, urbains et ruraux, habitants de souche ou pas, femmes ou hommes, ont marqué leur attachement au territoire.
Entre la Place de Catalogne et le Castillet, la marée humaine a exprimé sa variété, dans l’unité : citoyens apolitiques, représentants du monde économique et culturel, sportif et associatif, ont dit « Oui ». Tous ont suivi le mouvement que nous avons lancé en juin.
Nous remercions vivement les volontaires du Comité Oui au Pays Catalan : en logistique, sécurité, démarches administratives, protocole, organisation générale et communication, une quarantaine de personnes a sacrifié ses vacances estivales pour le succès de ce rendez-vous de rentrée. Merci aussi aux entreprises Brasserie Milles et Sendra Logistics, tout comme à la mairie de Perpignan, engagées aux côtés du territoire. Merci encore à la Colla de gegants d’Argelers de la marenda menée par Georges Estève, à la Colla de Gegants de Perpinyà menée par Gilbert Crabie, aux castellers Pallagos del Conflent, au Comité Flama del Canigó, aux Sacs de gemecs Clairanencs et aux Salanc’aires.
Bravo aux acteurs économiques, sportifs et culturels, présents dans le long cortège, cités ici par ordre alphabétique :
Beltran Laurie, Miss Catalogne
Casenova Alain (groupe Al Chemist)
Di Francesco Hugues (groupe Al Chemist)
Legrais Hélène, écrivain.
Els Mariners del Canigó
Massuet Robert, président de la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du bâtiment des Pyrénées-Orientales (CAPEB 66).
Raynal Gérard, écrivain
Roger Jean-Marie, président de la coopérative Plaine du Roussillon
Sanchez Thierry, lâcheur de colombes
Solé Joan Llorenç, chanteur
Villanove Joan, écrivain d’Histoire
Les élus qui ont osé
Des élus de tous bords ont soutenu la cause du territoire lors de cet évènement. A ce titre, nous saluons la présence de personnalités socialistes, opposées à la ligne officielle « occitanist » de leur parti, relayée par la présidente régionale, Carole Delga, et le Premier ministre, Manuel Valls. Nous saluons pareillement les élus de droite et du centre qui ont pris la mesure de l’enjeu. Parmi les partis politiques, nous remarquons que les soutiens officiels ont été rares : ils concernaient exclusivement Debout la France, le Parti Radical Catalan, la fédération du Parti Communiste des Pyrénées-Orientales et Convergence Démocratique de Catalogne (CDC), parti impulseur de la mobilisation.
Nous constatons que le Front National, en embuscade sur les thèmes territoriaux et identitaires, évite perfidement la question du Pays Catalan, dont il refuse l’affirmation.
Voici la liste des élus présents :
Anrigo Michel, maire de Coustouges
Astruch Jean-Pierre, maire de la Llagone
Bataille Pierre, maire de Fontrabiouse
Beffara Damienne, maire de Millas
Bosch Jean-Marie, maire de Serralongue
Brunet Annabelle, maire-adjointe de Perpignan et conseillère départementale des Pyrénées-Orientales
Cabrera Maria, 1e adjointe de la Ville de Bages
Calabrèse Toussainte, conseillère départementale du canton Perpignan V
Calvet François, maire du Soler, sénateur des Pyrénées-Orientales
Carol Christophe, maire de Campôme
Cerventes Guillaume, maire du Tech
Chambon Jean-Louis, maire de Canohès
Coste Roland, maire de Corsavy
Del Poso Thierry, maire de Saint-Cyprien
Demelin Jean-Louis, maire de Font-Romeu
Dupont Bernard, maire de Canet-en-Roussillon
Ferrand Alain, maire du Barcarès
Ferrer Claude, maire de Prats-de-Mollo
Foxonet Gilles, maire de Baixas
Garcia-Vidal Madeleine, maire de Saint-Hippolyte
Garrabé Robert, maire de Saint-Jean Plac de corts
POLITIQUE : BRAVO À PRATS DE MOLLÓ
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Samedi 3 septembre, la Ville de Prats de Molló organise une journée exceptionnelle, intitulée « Fidelitat al Nostre Poble » (Fidélité à notre peuple). Plusieurs inaugurations d’espaces publics sont prévues en présence de la Présidente du Parlement de Catalogne, Carme Forcadell.
Un hommage sera rendu à Muriel Casals, présidente de la puissante association Òmnium, organisatrice des spectaculaires manifestations de Barcelone, décédée en février. À cette occasion, la mairie invite les habitants et commerçants à pavoiser leurs maisons ou devantures aux couleurs catalanes. Un concert donnera la tonalité festive aux célébrations, ouvertes à tous, sans considérations d’origine, condition sociale et appartenance politique.
Convergence Démocratique de Catalogne (CDC) félicite les élus de Prats de Molló, à une semaine de la grande manifestation de renaissance « Oui au Pays Catalan », prévue samedi 10 septembre à Perpignan. Prats de Molló, ville d’honneur, sait préserver son âme et partager les valeurs existentielles catalanes, sans exclusion, sans complexes. Cette cité du Haut Vallespir ne triture pas la « catalanité » pour l’associer, comme d’autres, à un réservoir électoral ou à une stratégie marketing , car elle la vit spontanément. Prenons exemple sur elle, restons enracinés tout en restant actuels, encourageons l’intégration culturelle, ayons une croyance sincère en un territoire.
DÉPARTEMENT : MADAME DELGA NE NOUS COMPREND PAS !
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Mercredi 24 août, la présidente occitane Carole Delga a rencontré à Perpignan le groupe Al Chemist, porteur de nos valeurs identitaires. Nous apprécions cette formation musicale, dont le chanteur s’avoue modestement « troubadour moderne », mais pas analyste de notre société. À ce titre, sans rien ôter au talent de l’artiste, cette rencontre révèle un manque de considération envers notre territoire. La présidente se devait d’écouter un interlocuteur politique, comme la Sénatrice et présidente PS du Conseil départemental, Hermeline Malherbe, et le maire de Perpignan et président de la métropole Perpignan Méditerranée, Jean-Marc Pujol, membre des Républicains.
Carole Delga a cherché à amadouer en déclarant « je respecte fortement les Catalans (…) j’entends cette inquiétude par rapport à la culture catalane ». Elle a même osé rappeler son projet d’« Office public de la langue catalane », prétendu soutenir l’enseignement de la langue catalane… que le ministère PS de l’Education nationale veut réduire ! En contradiction totale avec Paris, cette promesse fantasque est vouée à fidéliser une clientèle d’électeurs du Roussillon, par la technique de la subvention et de l’emploi des copains. Mais surtout, elle entretient la confusion, car notre besoin est d’abord politique. Ainsi, résumer le débat à l’identité est un leurre qui permet d’éviter la question d’un pouvoir territorial fort à Perpignan. Promoteurs de cette décentralisation poussée, nous avons lancé la campagne « Oui au Pays Catalan ».
Au chapitre économique, la présidente régionale a évoqué un « contrat d’avenir pour les Pyrénées-Orientales », le soutien aux énergies renouvelables, au train jaune et au mémorial de Rivesaltes. Cette blague ne résorbera pas notre crise endémique, soulignée par 1% de chômage supplémentaire au cours du dernier trimestre dans notre département. Non, en économie, l’échec socialiste national ne peut se traduire par un succès départemental. La Comtesse de Toulouse se moque de nous. Membre d’un parti en perdition idéologique, en est-elle seulement consciente ?
POLITIQUE : DIMANCHE, LA RÉSISTANCE CATALANE PREND LE MAQUIS
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Dimanche 31 juillet se déroulera le rassemblement festif de protection du Pays Catalan, menacé par la réforme territoriale. Ce rendez-vous est prévu à partir de 10 heures à la chapelle Saint-Amans de Montauriol, dans notre petite région de l’Aspre.
Le Comité « Oui au Pays Catalan » invite toutes celles et tout ceux qui considèrent que notre territoire a son mot à dire dans le grand débat régional. Ensemble, rejoignons le maquis et organisons la résistance catalane face à l’Occitanie dévoreuse d’identités.
Pique-nique tiré du sac et prises de parole jalonneront cette journée citoyenne, familiale, plurielle et positive, en pleine nature.
POLITIQUE : FRANCOIS HOLLANDE CONSACRE UNE HEURE AU PAYS CATALAN
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Le Président de la République, François Hollande, est de passage dans les Pyrénées-Orientales, ce jeudi 28 juillet. Cette visite furtive est justifiée par l’inauguration de l’élargissement du tronçon de l’autoroute A9 à deux fois trois voies, à Rivesaltes.
Pour ce faire, l’agenda présidentiel ne consacre qu’une heure chrono à notre territoire ! Notre problématique sociale et économique, notre taux de chômage et nos 51 709 chômeurs enregistrés fin juin n’émeuvent pas le Président. Notre agriculture et notre secteur du Bâtiment et des Travaux Publics en crise produisent le même effet sur le chef de l’État.
Nous réprouvons cette aumône de 60 minutes, sur un thème éloigné de nos besoins. En réalité, l’enjeu politique est de produire des images télévisées « quelque part là-bas dans le Sud », pour théâtraliser le dérisoire. Convergence Démocratique de Catalogne (CDC) défend une République des territoires, en opposition au centralisme maladif qui favorise Paris. Monsieur le Président, le Pays Catalan mérite bien plus qu’une heure de temps.
POLITIQUE : LE CONSEIL DÉPARTEMENTAL SE RÉVEILLE… POUR NOUS ENDORMIR !
Lundi 25 juillet, le Conseil départemental des Pyrénées-Orientales s’est enfin exprimé sur le débat territorial, un mois après le choix « occitaniste » de l’assemblée régionale toulousaine ! Il a voté une motion pour une région « Occitanie / Pays-Catalan » en soutien au « recours citoyen » de l’ancienne députée socialiste Renée Soum.
La majorité socialiste, à Perpignan, manoeuvre habilement pour faire plaisir aux partisans de l’Occitanie, du Pays Catalan, de la Méditerranée, des Pyrénées, de la Planète Terre et du cosmos, pour masquer son absence de programme économique, social, politique et identitaire pour le Pays Catalan. Nous ne sommes pas dupes : le PS perpignanais de Hermeline Malherbe protège le PS toulousain de Carole Delga, qui protège le PS gouvernemental de François Hollande. Au final, ces dirigeants mangent dans la même gamelle. Le système PS mime l’auto-critique pour mieux entretenir ses réseaux de clientèle subventionnée. Cet opportunisme est ridicule dans le débat territorial, qui dépasse la question du nom de la région. Le grand enjeu créé par la méga-région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées concerne la place et le projet des Pyrénées-Orientales. Les autres considérations, liées aux couleurs politiques, sont des luttes d’appareils politiques, sans intérêt pour nos habitants.
ACCUEIL CATALAN : SUR LE TERRAIN, NOTRE BIENVENUE AUX TOURISTES
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Samedi 23 juillet, journée de forte affluence touristique, notre formation politique a mené une action de terrain au péage Perpignan Sud de l’Autoroute A9. Une douzaine de nos adhérents a procédé à la distribution de 1000 pêches du Roussillon offertes par la coopérative La Melba de Bouleternère.
Cette opération a comporté la distribution d’un FLYER intitulé « Welcome to Catalan Country », portant le message : « Profitez de nos 1000 ans d’Histoire, Découvrez notre patrimoine, Respectez notre environnement, Consommez des produits d’ici ».
Ce document bilingue français-anglais indiquait aussi « Enjoy our 1000 years History, Discover our heritage, Respect our environment, Consum local products ». Les automobilistes ont apprécié cette opération de bienvenue, identitaire en bienveillante, effectuée dans la bonne humeur.
Convergence Démocratique de Catalogne (CDC) agit concrètement pour le Pays Catalan, pour ses agriculteurs, son économie, son image et son avenir. Notre formation politique réprouve le tourisme de masse, synonyme de passé : face à ce mode de fréquentation « plage et soleil », nous prônons le tourisme qualitatif.

POLITIQUE : INSTRUISONS CAROLE DELGA SUR L’HISTOIRE DES CATALANS
Communiqué du Parti Démocrate de Catalogne
Lors d’un meeting socialiste, le 8 juillet à Palaja, près de Carcassonne, en présence de Manuel Valls, la présidente de l’Occitanie, Carole Delga, a déclaré que le mot « catalan » signifiait « repli sur soi ».
Elle a jugé l’identité catalane « dérangeante », « pas vendeuse » et « inconnue ». Ces propos ahurissants révèlent un profond mépris pour les citoyens d’un territoire que Madame Delga prétend représenter. Ils blessent profondément les électeurs des Pyrénées-Orientales qui l’ont choisie lors des dernières élections régionales. Pour justifier ses propos, la présidente toulousaine affirme : « nos associations catalanes sont toutes de droite souvent extrême ».
Pour couronner ces affirmations, la gazette institutionnelle « Occitanie Journal » de juillet-août, actuellement distribuée dans les boîtes aux lettres, affirme sans vergogne à propos du nom scandaleux de la région : « L’ensemble du territoire est bien représenté » ! Ce journal payé à nos frais a pour directeur de la publication Madame Delga en personne.
Comment peut-on piloter un territoire que l’on ignore et des habitants que l’on méprise en niant une identité, que l’on prétend effacer ? Le Pays Catalan n’a jamais accepté les gouvernants de ce type. Les propos de Carole Delga clarifient la situation : dans l’Occitanie, le débat n’est pas le nom, la question fondamentale c’est le projet de nous faire disparaître. La comtesse de Toulouse ne représente plus l’ensemble des Catalans.
Pour instruire la présidente régionale sur le territoire qu’elle bafoue, nous lui adressons ce jour l’ouvrage « Histoire du Pays Catalan », de Joan Villanove, paru cette année. Nous espérons que cette oeuvre de référence fournira à Mme Delga la connaissance nécessaire à la modification de son jugement.
POLITIQUE – IMITONS LE SOLER : AFFIRMONS-NOUS !
Communiqué
La commune du Soler a pris l’heureuse initiative d’apposer la mention « Pays Catalan » à ses panneaux d’entrée de ville, depuis le 6 juillet. Cette affirmation identitaire a été voulue par le sénateur-maire François Calvet. Le Comité Oui au Pays Catalan salue avec insistance le geste fort de cet élu membre du parti des Républicains. Nous invitons l’ensemble des 225 autres maires des Pyrénées-Orientales à emboîter le pas de ce pionnier, qui a compris que la personnalité d’un territoire est donnée par la myriade de petits ensembles, communaux ou intercommunaux qui le composent.
Entre l’étrangère « Occitanie » imposée par Toulouse et la dénomination insipide « Pyrénées-Méditerranée » défendue par les déracinés idéologiques, la solution juste est « Pays Catalan ». Bravo par avance aux décideurs politiques, de gauche, du centre ou de droite, qui auront la vaillance de reproduire cette stratégie de protection de notre territoire.

LE SOLER : FRANCOIS CALVET S’ENGAGE DANS LE DÉBAT DU FUTUR NOM DE LA RÉGION
À l’issue du vote pour le nom de la nouvelle région qui s’appellera désormais « Occitanie », François CALVET, Sénateur des Pyrénées-Orientales, Maire du Soler, 1er Vice-Président de la Communauté Urbaine Perpignan Méditerranée Métropole a décidé de porter la colère et l’exaspération des Catalans au plus haut sommet de l’État.
Inquiet pour l’avenir et la lisibilité du territoire catalan au sein de notre nouvelle entité régionale qui compte plus de 6 millions d’habitants, le 5 juillet dernier, François CALVET a adressé une missive à l’attention du 1er Ministre Manuel VALLS. Lui-même Catalan d’origine, nous espérons sincèrement qu’il puisse revenir sur cette décision qui raye de la carte l’exception culturelle, l’histoire et les traditions des 400 000 résidents du département des Pyrénées-Orientales.
En effet, les élus du Conseil Régional, dans leur majorité, ont choisi un nom lié à une des deux identités (Occitanie/Pays Catalan) qui la composent. Ce choix a été dicté par les résultats d’une consultation sur Internet qui a abouti à faire apparaître, pour environ 200 000 votants sur les 6 millions d’habitants de cette région, le nom d’Occitanie. Cette appellation est arrivée en tête avec moins de 45 % des suffrages exprimés, Occitanie-Pays Catalan n’ayant obtenu que 12,5 % des suffrages.
« Notre département vit cette appellation comme une marque de mépris supplémentaire pour ses habitants. Qu’avons-nous fait de mal pour que nous soyons ignorés à ce point ? L’absence de prise en compte de notre identité contribue un peu plus au désespoir et ajoute à la crise économique et sociale que connaît notre territoire. Elle contribuera à précipiter les gens vers les extrêmes. De plus, l’absence de représentation de notre territoire augure bien mal de la considération que les dirigeants de la nouvelle région auront pour les Catalans. Et aujourd’hui, nous sentons monter tous les jours un peu plus, de tous bords politiques confondus, l’exaspération populaire que crée cette situation » souligne François CALVET.
Espérons que ce courrier envoyé à Matignon puisse ramener le bon sens et la raison qui fait cruellement défaut sur ce dossier à l’administration de Madame Carole DELGA, Présidente du Conseil Régional et qui nous offre un bel exemple de centralisme territorial.
En 2010 déjà, une incroyable mobilisation, nous avait sauvé de la « Septimanie » et conduit Georges FRÊCHE à faire marche arrière pour conserver « Languedoc-Roussillon ». Souhaitons que le 1er Ministre examine avec attention la proposition « Occitanie » qui sera ratifiée par décrets et par ses services au mois d’octobre 2016.
Des paroles, des écrits, mais aussi des actes ! Pour signaler son engagement à faire en sorte que cette situation évolue et ne reste pas fermée, François CALVET a décidé d’ajouter sous le panneau signalétique « Le Soler » la mention « Pays Catalan », une initiative qui pourrait bien être reprise très prochainement dans un grand nombre de villes et villages du Département.

RÉGION : NOUS SOMMES DONC UN « SOUS-TITRE »
Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
Les élus régionaux ont donc décidé de passer en force et d’imposer « Occitanie » comme nom de région, reléguant les catalans au rang de vague sous-titre avec « Pyrénées-Méditerranée » par 85 voix contre 60.
Debout la France, notre fédération en particulier, s’était opposé dès le début à la réforme territoriale, anticipant la négation puis la disparition des « petits » territoires au profit des métropoles gloutonnes, et nous avions fait campagne depuis lors pour la création d’une Collectivité Territoriale Unique « Pays Catalan » ancrée dans la République Française : nous étions les SEULS à le dire pendant les Départementales, et toujours les SEULS à le proposer avec notre liste aux Régionales. Aujourd’hui les choses bougent : le Comité « Oui au Pays Catalan » s’est constitué, la population commence à se mobiliser.
Une CTU, moderne, réactive, connectée au monde et surtout démocratique, avec les compétences régionales et départementales réunies, est le seul moyen pour que notre département s’en sorte et continue d’exister après 2020/2021, date de la suppression des départements. Le Grand Paris, la Métropole Lyonnaise, la Corse, les DOM-TOM-COM d’Outre Mer… une dizaine de statuts existent et sont encadrés par l’article 72 de la Constitution française.
Cette CTU sera un acteur majeur et indispensable qui aura la capacité d’influer sur les choix des décideurs nationaux : je pense notamment au tracé de la Ligne à Grande Vitesse qui doit contourner Perpignan, je pense au développement de l’aéroport et du port, je pense aussi aux grandes politiques économique, touristique, culturelle, écologique, etc.
Nous devons avoir notre mot à dire sur ce que nous voulons pour notre territoire.
PERPIGNAN : « LE MAIRE DOIT PRENDRE SES RESPONSABILITÉS SUR LES VELLÉITÉS DE CERTAINS DE SES ÉLUS ! »
Communiqué de Louis Aliot, Conseiller Municipal et Communautaire FN
« Je demande à Monsieur le Maire de Perpignan de condamner les propos de son adjoint aux affaires catalanes et à la coopération transfrontalière.
En effet celui-ci dans le quotidien local expose sa stratégie de rupture dans ces termes : « maintenant, il va falloir convaincre la population, nos députés et les institutions qu’il faut pour notre département une collectivité territoriale unique avec un statut particulier, comme c’est le cas en Corse ». Rien que ça.
Si nous n’avons rien contre la personne incriminée, nous considérons que cette vision culturellement séparatiste et légalement douteuse, n’a jamais été que je sache la position de l’institution municipale perpignanaise et que dans tous les cas, elle ne représente qu’une infime minorité de la population de notre département.
Que ces organisations politiques microscopiques se présentent aux élections pour défendre ces idées-là et elles constateront la popularité de leur projet !
Défendre notre identité locale, nos traditions, notre patrimoine, notre culture face à une immigration toujours plus dynamique et à l’installation d’un communautarisme religieux est une chose. Promouvoir des idées de division nationale en est une autre ! La France n’est pas l’Espagne ! Le combat culturel renforcera l’unité du pays ; les revendications institutionnelles autonomistes fragiliseront la France et la république.
Dans une situation d’extrême fragilité pour notre pays, c’est vers l’unité et l’indivisibilité de la République française et la sécurité de son peuple qu’il faut se concentrer.
Le nom de la nouvelle région décidé par les socialistes, les communistes, les écologistes et leurs alliés régionalistes, après une consultation douteuse, coûteuse et critiquable, ne va faire qu’accentuer les dissensions entre territoires, élus et professionnels.
Catalans d’accord mais Français d’abord ».
RÉGION : DELGA, TETUE COMME UNE MULE !
Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
La Comtesse de Toulouse, Carole DELGA, explique ce matin dans L’Indépendant à quel point elle se fiche des inquiétudes des catalans.
En effet, après le Plan Marshall où seulement 3% des 800 millions d’€uros d’investissement seront réservés aux P.-O. et après avoir annoncé la suppression de toute référence catalane dans le nom de la région « Occitanie », elle fait trois propositions pour essayer de calmer les habitants des P.-O. :
– La possibilité de traduire le « sous-titre » en catalan ou en occitan à certaines occasions
– La création d’un Office Public de la Langue Catalane
– L’installation du siège de l’Eurorégion à Perpignan
Je ne vais même pas épiloguer sur les deux premières propositions, quand à la 3ème, il faut savoir que l’Eurorégion existe depuis plus de dix ans et qu’elle est chargée de distribuer 300 000 €uros de subventions seulement chaque année.
Est-ce avec ces trois propositions que nous aurons les moyens de nous développer ? Quelles politiques économiques, touristiques, culturelles, écologiques… pour notre département ?
Les régions ayant récupérées la quasi-totalité des compétences départementales et économiques, nous attendions des propositions concrètes, des engagements sur des délégations de compétences par exemple. Il n’en est rien.
Mentions spéciales à Gérard ONESTA et Agnès LANGEVINE qui ont lâché le Pays Catalan pour un mandat et une fonction. Quand à Mesdames MALHERBE et NEUVILLE, silencieuses depuis des mois (chut, pas de vague), elles nous indiquent aujourd’hui soutenir la proposition « Occitanie ».
Cette réforme territoriale est catastrophique : des régions trop grandes, pas d’économies de fonctionnement, des métropoles qui vampirisent tout, des identités locales niées… Debout la France s’y était opposé dès le début et tout cela nous donne raison.
Dans la continuité des élections départementales et régionales, nous continuerons à nous battre pour une « Collectivité Territoriale Unique » inscrite au coeur de la République Française, afin d’avoir les compétences nécessaires au développement économique de l’ensemble de notre territoire Notre participation au Comité « Oui au Pays Catalan » va dans le sens de cet objectif commun et je l’ai d’ailleurs rappelé hier soir sur France Bleu Roussillon.
POLITIQUE : PERPIGNAN L’OCCITANE !
Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de « Debout la France »
La Région, sous la pression de divers mouvements politiques dont Debout les P.-O., a enfin officialisé les résultats de la consultation sur le futur nom de la Région.
Tout d’abord, il faut noter l’énorme échec de la majorité rose-verte : seulement 204 000 personnes se sont prononcées. La « grande consultation populaire » n’a pas mobilisé les citoyens qui ont compris l’arnaque : on leur demande leur avis tout en expliquant que les élus pourront faire ce qu’ils veulent le 24 juin prochain.
Concernant le résultat… « Occitanie » en tête avec 45%, « Occitanie Pays Catalan » à 12%. Prévisible malgré notre mobilisation sur le sujet et le fait que certains « catalans » aient préféré jouer le jeu du nom « géographique » ou « économique » comme si nous n’étions que de simples marchandises à vendre.
Notre département disparaît petit à petit. Notre spécificité locale s’efface dans un ensemble « occitan » qui ne nous représente pas et dont la marque commerciale « Sud de France » ne représente déjà plus rien.
Debout les P.-O. regrette de devoir constater, encore une fois, que les élus socialistes et écolos n’ont pas été capables de mobiliser et rassembler tous les citoyens de la Région sur cette question.
Cette nouvelle étape dans le processus de disparition programmée des départements, le notre en particulier, nous renforce dans notre idée qu’il faut un statut de collectivité territoriale unique pour le Pays Catalan, dans le cadre de la République Française.
Tous à la manif du 18 juin à Perpignan !

POLITIQUE : APPEL A MANIFESTER !
Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »
Depuis presque 2 ans maintenant, je défends le droit et la nécessité d’un statut de Collectivité Territoriale Unique pour les P-O. Aujourd’hui, membre du Comité « Oui au Pays Catalan » je continue à me battre pour notre territoire.
Le développement économique de notre département ne doit plus dépendre de la bonne volonté d’élus planqués dans leurs forteresses Toulousaine et Montpelliéraine.
Nous devons reprendre en main notre avenir. La Corse, le Grand Lyon, les territoires d’Outre-Mer, le futur Grand Paris… autant d’exemples qui autorisent notre département à demander ce statut.
C’est pour cette raison que j’appelle tous les habitants du département à venir manifester le samedi 18 juin à Perpignan pour la défense de notre Pays Catalan français.

OUI AU PAYS CATALAN ! 18 JUIN 2016 : MANIFESTONS !
La nouvelle grande région recevra bientôt son nom définitif. Mais alors que le « Languedoc –Roussillon » nous prenait en considération, la future dénomination effacera le Pays Catalan. Pire encore, la disparition des Départements, à l’horizon 2020-2021, constitue une grave menace pour l’avenir de notre territoire.
Le respect de note identité et notre droit à disposer d’une Collectivité Territoriale Unique, sur le modèle du Grand Lyon et de la Corse, ne sont pas discutables.
Pour protéger le Pays Catalan et assurer son avenir, manifestons samedi 18 juin à Perpignan !
Départ à 15h place de Catalogne
Interventions à 16h au Castillet
Suivez la campagne « Oui au pays Catalan » :
Vidéos de personnalités : www.ouiaupayscatalan.tv
Prises de position : www.ouiaupayscatalan.com
Contacts : 06 75 74 25 49 et contact@ouiaupayscatalan.com
POLITIQUE : DOIT-ON ENDETTER INUTILEMENT LE DEPARTEMENT, OU LUI DONNER LES MOYENS DE BIEN INVESTIR ?
Par Sébastien Ménard, secrétaire Départemental de « Debout la France »
Comme le dit Romain GRAU lors de la dernière assemblée départementale, il faut « une collectivité stratège qui ait à coeur de porter des projets structurants ». Oui, mais après la réduction drastique des compétences départementales dans le cadre de la Loi NOTRe, Républicains et Socialistes se sont entendus pour programmer la disparition des départements dès 2020/2021 !
Par conséquent, le Département n’a déjà plus de compétences économiques et ne pèse plus rien dans les grands débats (Ligne Grande Vitesse, développement du Port…). Dépenser plus dans la construction de routes ne réglera rien.
Il faut que notre département puisse bénéficier du statut particulier de « Collectivité territoriale Unique » qui lui permettrait, dans le cadre d’une démocratie modernisée, de développer notre territoire en fixant les grands objectifs et en défendant nos intérêts sur la scène nationale et internationale, puis en ayant les moyens financiers et politiques d’investir massivement là où il le faut pour relancer la machine économique. Sans un Département fort, ce sera la guerre des « agglos » dans une Région qui n’attend que ça : « diviser pour mieux régner ».
C’est pour cela que je participe au Comité « Oui au Pays Catalan » et que j’appelle les habitants des P.-O. à venir manifester le 18 juin prochain à Perpignan.
DÉPARTEMENT – NOTRE PRÉSIDENT A ÉCRIT À MANUEL VALLS : « NE NOYEZ PAS LE PAYS CATALAN »
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
En préfiguration de la manifestation « Oui au Pays Catalan » organisée samedi 18 juin à 15h au départ de la Place de Catalogne de Perpignan, notre président Jordi Vera saisit le Premier ministre. Pour assurer l’avenir du Pays Catalan dans le cadre de la nouvelle régionalisation, il a adressé un courrier intitulé « Monsieur le Premier ministre, ne noyez pas le Pays Catalan » à Manuel Valls mardi 7 juin.
Dans sa lettre (Lettre au 1er ministre du 7 juin 2016), notre dirigeant reconnaît la nécessité de mettre fin aux « archaïsmes administratifs » en supprimant certains départements, mais il défend les Pyrénées-Orientales, territoire « pertinent et cohérent ». Jordi Vera avertit : la disparition du Pays Catalan « à l’horizon 2020-2021 comme recommandé par la Commission Attali » constituerait une « catastrophe sociale ». Cette éventuelle suppression s’effectuerait contre une « dynamique démographique, un ensemble de terroirs en synergie et un creuset culturel Reconnu ». Notre président rappelle que les terres catalanes du Nord, depuis leur annexion à la France, se sont toujours incarnée dans le pays, au travers d’un Conseil souverain en 1659, d’un Conseil général en 1790 puis d’un Conseil départemental depuis 2015. Face à l’avenir, pour que notre territoire reste protégé par un statut institutionnel, Jordi Vera suggère à Manuel Valls la mise en place d’un « statut de Collectivité Territoriale Unique inspiré du Grand Lyon ou de la Corse ».
DÉPARTEMENT : SUPPRESSION DU PAYS CATALAN ? NOTRE PRÉSIDENT INTERPELLE LES ÉLUS
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
La campagne « Oui au Pays Catalan » visant à protéger notre territoire dans le contexte de la massification régionale mobilise notre parti. En ce sens, notre président, Jordi Vera, s’est adressé par courrier à l’ensemble des maires et grands élus des Pyrénées-Orientales lundi 30 mai, afin de leur signaler le danger à venir. Sa lettre, intitulée « Prenez position : oui au Pays Catalan », attire l’attention des responsables politiques sur la question du devenir territorial.
Jordi Vera souligne que Pays Catalan, caractérisé par « mille ans d’Histoire, une culture forte et un caractère marqué (…) est promis à la disparition, car les Départements, comme nombre de nos communes, seront supprimés à l’horizon 2020-2021 » selon la Commission Attali. Or, depuis son annexion à la France, notre territoire a toujours été représenté : sous forme de « Conseil souverain » en 1659, « Conseil général » en 1790 et « Conseil départemental » depuis 2015. Et demain ? Sans statut institutionnel, sans Département, pourra-t-il exister encore ?
Notre président redoute qu’il faille bientôt « passer par Toulouse pour parler à Paris » et avertit : « notre langue et notre culture seront-elles noyées dans le magma languedocien ? ». Il invite les élus, de toutes couleurs politiques, à oser donner leur avis sur le destin administratif et institutionnel du territoire.
Jordi Vera convie les destinataires de sa missive à participer en force à la manifestation organisée par le comité « Oui au Pays Catalan », samedi 18 juin à compter de 15h, au départ de la Place de Catalogne de Perpignan.
DÉPARTEMENT : OUI AU PAYS CATALAN
CATALUNYA : ARGUMENTS POUR UNE COLLECTIVITÉ TERRITORIALE UNIQUE
Les évolutions institutionnelles actuelles et futures invitent à reconsidérer le statut des Pyrénées-Orientales au sein de la République Française. A ce titre, une Collectivité territoriale unique, dotée de pouvoirs régionaux, devient nécessaire pour répondre aux attentes spécifiques du territoire.
« Pays Catalan » et « Occitanie » sont incomparables
Le « Comité du nom » de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées envisage l’impossible, en proposant le nom « Occitanie-Pays Catalan », inacceptable par le Conseil d’Etat. « Occitanie » est un nom politique, peu populaire comparé à « Pays Catalan », dénomination vivante et spontanée, en développement partagé, dénuée de connotations politiques. « Pays Catalan » n’est pas une opinion, ce n’est pas que de l’identité, ce n’est pas de la politique gauche/droite.
Toulouse ne nous connaît pas
La présence ou l’absence de « Pays Catalan » dans le nom de la région signale la volonté ou le refus de considérer les singularités des Pyrénées-Orientales. Notre territoire est objectivement et radicalement différent des 12 autres départements. Notre synthèse mer et montagne, nos difficultés sociales provoquées par l’attrait du soleil et la crise agricole, notre potentiel inexploité, sont des éléments majeurs. Notre position transfrontalière est inconnue à Toulouse (et même à Montpellier), pour des questions évidences de distance : le transfrontalier, dans ce qu’il a de bon et ce qu’il a de mauvais, est une singularité indissociable du Pays Catalan. Mais nos caractéristiques ne sont pas connues à Toulouse. Le jacobinisme régional est néfaste, car il ne résoudra pas les problèmes particuliers par des solutions globales.
Pour Toulouse, nous n’existons pas
La Région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a exclu « Pays Catalan » du débat, avant de se raviser, par stratégie : n ous ne comptons pas pour Toulouse. Le nouveau pouvoir assimile notre territoire, doté de 1000 ans d’histoire, à un simple canton sans âme.
La Région ne souhaite pas « détailler* », en citant les Pyrénées-Orientales. Dans ces conditions, nous serons aussi un détail économique. L e débat sur le choix du nom de la région est cosmétique, il masque le sujet de fond : les moyens alloués aux Pyrénées-orientales. Le nom de la région révèlera la place que nous pourrons prendre dans le nouvel ensemble territorial, en matière d’économie et de progrès général.
*Carole Delga, présidente régionale, le 4 avril 2016 : « Les propositions de nom ne peuvent pas détailler chaque partie du territoire ».
Notre personnalité territoriale a toujours été reconnue
Les Pyrénées-Orientales (ou Roussillon, Comté du Roussillon ajouté à la Cerdagne et au Capcir, ou Catalogne Nord) ont toujours disposé d’une reconnaissance ou d’un statut particulier, sous la monarchie comme sous la République. Le « Languedoc-Roussillon » avait la vertu de reconnaître notre territoire, pourtant minoritaire en son sein.
Notre caractère est partagé au quotidien
L’existence d’une réalité territoriale forte, de plus en plus partagée, est démontrée par la présence du « Pays Catalan » dans le quotidien : les milieux sportifs et culturels, les institutions et les entreprises des Pyrénées-Orientales emploient notre nom et nos couleurs, car ils incarnent des valeurs positives et généreuses, à la fois anciennes et modernes.
(Cf. document « le Pays Catalan, une évidence au quotidien ».
La liquidation du département des Pyrénées-Orientales, et après ?
Le débat sur le nom, s’il paraît superficiel, n’est qu’un début, car la question institutionnelle et territoriale qu’il camoufle devient prégnante. La prochaine étape sera la liquidation du département, à l’horizon 2020-2021, selon la volonté du gouvernement, guidé par le rapport 2008 de la Commission Attali. De la sorte, les Pyrénées-Orientales / Pays Catalan seraient dépossédées de toute définition cohérente, elles seraient dissoutes.
Déjà, en 1969…
La question qui se pose aujourd’hui n’est pas nouvelle : en 1969, préalablement à la constitution des régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon, il était question de nous rattacher à Toulouse. Il était aussi question d’un « Statut particulier pour le Roussillon ».
Dans le cadre du débat sur le nom de la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées (LRMP), Convergence Démocratique de Catalogne se mobilise pour la protection et la promotion des Pyrénées-Orientales. A cet effet, le Comité pour le Pays Catalan a été présenté jeudi 21 avril au Grand Café de la Poste de Perpignan en présence de M. Jordi Vera, président de notre formation, l’avocat Me Pierre Becque, ancien conseiller régional et M. Jean-Luc Pujol, maire de Fourques et ancien conseiller régional. M. Annabelle Brunet, conseillère départementale des Pyrénées-Orientales, maire-adjointe de Perpignan et conseillère communautaire de Perpignan Méditerranée Métropole, ainsi que M. Sébastien Ménard, secrétaire départemental de Debout la France dans les Pyrénées-Orientales, étaient à leurs côtés.
Les personnalités politiques engagées dans ce mouvement constatent l’émergence d’un centralisme régional toulousain. Soucieuses d’un développement économique et social partagé, elles réclament la prise en compte des singularités de notre territoire, objectivement différent des 12 autres départements du LRMP. Elles s’indignent que la présidente Carole Delga perçoivent les Pyrénées-Orientales comme un détail. Elles défendent la dénomination « Pays Catalan », profonde et dynamique, qui n’est pas une opinion mais une évidence au quotidien dans les domaines sportif et culturel, économique et institutionnel.
Au delà du débat sur le nom, le Comité pour le Pays Catalan défend de véritables moyens réservés aux Pyrénées-orientales, dans un cadre régional propre, car la méga-région en construction nous néglige déjà. Ce débat précède la liquidation du département, à l’horizon 2020-2021, selon la volonté du gouvernement. Face à la dissolution annoncée des Pyrénées-Orientales / Pays Catalan, seule une Collectivité Territoriale Unique, à l’image du Grand Lyon, sera à même de répondre aux attentes spécifiques du territoire.
Pour défendre cette évolution institutionnelle, une grande manifestation se déroulera le 18 juin à partir de 15h, au départ de la Place de Catalogne de Perpignan. CDC lance un appel vers l’ensemble des habitants du Pays Catalan, sans distinctions d’origine ou d’appartenance politique, afin de porter haut et fort la voix territoriale, dans l’intérêt de tous.
POLITIQUE : LES GRANDS ÉLUS DOIVENT DÉFENDRE LE CATALAN
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
La réforme des collèges gouvernementale induit une forte atteinte à notre département. Ce renforcement des langues à l’Ecole se retourne paradoxalement contre l’enseignement du catalan, qui concerne 20.000 élèves. En effet, cette discipline, sous forme de Langue Vivante 2 ou option facultative, est menacée de disparition dans plusieurs collèges. Cette situation concerne la plupart de nos communes, qui en assurent le financement aux côtés du Conseil départemental des Pyrénées-Orientales. Le système d’enseignement bilingue, dans les collèges et lycées, subit aussi la menace de la réforme, malgré sa qualité reconnue et sa dynamique de croissance.
La réforme ne remet pas en cause directement l’enseignement des langues régionales ni les classes bilingues. Mais il existe une spécificité catalane, basque, corse ou bretonne, caroutien des familles et des institutions territoriales est fort. L’enseignement du catalan est le fruit d’une volonté populaire, non de la politique venue d’en haut. Or, le rectorat de l’académie de Montpellier néglige les moyens nécessaires au catalan et abandonne à la libre appréciation des collèges le maintien des enseignements en langue catalane. La demande sociale envers la langue du pays est bafouée, car le rectorat ne fait pas remonter cette problématique à Paris.
Nous interpellons l’ensemble des parlementaires, conseillers régionaux et départementaux et maires du Pays Catalan. Mesdames, Messieurs, soyez responsables et cohérents. Madame la Sénatrice et Présidente du Conseil départemental, agissez auprès de la Rectrice de l’Académie de Montpellier, du Ministère de l’Education Nationale et des autorités politiques nationales.
Au Pays Basque, où 50% des élèves suivent un enseignement bilingue, le Recteur de l’académie de Bordeaux assure les élus du maintien du dispositif. La Rectrice de l’Académie de Montpellier doit en faire autant pour le catalan. Notre territoire nécessite un engagement politique sérieux, sans quoi le grignotage de l’enseignement du catalan, de l’Ecole à l’Université, pourra persévérer.
CDC défend un territoire plurilingue, ouvert sur le monde, où le catalan constitue un outil d’ouverture linguistique offert à la jeunesse. Nous ne renoncerons pas à cette richesse infinie.
CATALOGNE : DE PLUS EN PLUS D’HABITANTS EN PAYS CATALAN, A QUOI BON ?
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
L’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) signale 4912 habitants supplémentaires en Pays Catalan depuis un an. La croissance démographique représente 20.000 personnes en cinq ans, pour 462.705 habitants au 1er janvier 2016, avec un apport nettement supérieur au solde naturel. Cette hausse est-elle un progrès ? Nous constatons la course folle engagée par les maires rêvant d’une commune plus grande, pour une finalité obscure. Sous leurs programmes de lotissements à l’architecture impersonnelle, dans un pays de caractère, les villages deviennent des bourgs anonymes. Cette politique brise les solidarités sociales, délite le lien humain et menace l’existence d’une société partagée. Le béton des logements sociaux remplace les vignes et les cultures maraîchères, les paysages et les modes de vie à partager sont altérés à jamais. Est-ce vraiment ce que nous voulons ? A Perpignan, les naissances ont baissé de 4,9 % et les décès ont augmenté de 17 % en 2015. Si la hausse démographique était un bénéfice, les magasins désespérément fermés devraient rouvrir sous la pression de nouveaux clients.
Dans notre département, l‘attrait du soleil produit la frénésie immobilière, l’abandon du patrimoine foncier, la spéculation et parfois la discrimination financière des enfants du pays. Si à Prades, où la population a baissé de 11%, en Haut-Conflent ou encore à Cerbère, le recul démographique est inquiétant, la course inverse l’est aussi. La quantité n’est pas tout, sans quoi le chiffre du chômage ne frôlerait pas 16%, la pauvreté reculerait et le nombre d’entreprises productives exploserait.
Ces constats doivent être posés afin d’extirper le Pays Catalan de son statut de zone de repli et d’oisiveté, où seule la balnéarisation et les grandes surfaces semblent tenir lieu de modèle de développement économique.
CATALOGNE DU SUD : INDÉPENDANCE DE LA CATALOGNE OU UNITÉ DE L’ESPAGNE ?
Louis Aliot, Député européen, interroge la Commission Européenne
Question écrite de Louis Aliot :
L’investiture d’un Président indépendantiste à la tête de la province autonome de Catalogne ouvre une période de grande instabilité en Espagne, déjà très affaiblie par une crise économique importante et une instabilité politique et gouvernementale naissante. Alors que le sentiment indépendantiste est clairement minoritaire en voix en Catalogne et que les forces politiques démocratiques respectueuses de la Constitution de l’Etat espagnol et de son unité, s’opposent à ces véléités séparatistes et extrémistes, nous souhaiterions connaître la position de la Commision, sachant que l’Etat espagnol est une nation souveraine et que celle-ci bénéficie d’une aide européenne financièrement substantielle.
– La Commission compte-elle soutenir le Gouvernement espagnol dans sa volonté de maintenir l’unité de l’Espagne ou bien entend-elle ouvrir un dialogue avec le nouveau chef du Gouvernement indépendantiste catalan ?
– L’accession unilatérale de la Catalogne à l’indépendance signifierait-elle pour le nouvel Etat une sortie immédiate de l’UE ?
CATALOGNES : CDC GARDE CAP À BARCELONE
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
Un accord politique intervenu samedi 9 janvier à Barcelone permettra un nouveau gouvernement pour la Catalogne, dès lundi 11 janvier. Ce compromis historique comporte le retrait d’Artur Mas, Président de CDC en Catalogne du Sud, au bénéfice général du territoire.
Nous saluons cette résignation éclairée, qui garantira une gouvernance durable. Ce geste inédit souligne l’engagement sans failles d’une haute personnalité politique, qui démontre l’humilité et l’esprit collectif nécessaires au défi de la prise d’indépendance de la Catalogne. Il s’agit d’un exemple de non-carriérisme, guidé par un projet clair. P our notre département englué dans le cumul des mandats, l’individualisme électif et les projets factices, la leçon est proprement humiliante.
Le prochain Président de la Generalitat, Carles Puigdemont, également membre de CDC, est un grand ami de la Catalogne du Nord. Député-maire de Girona, partenaire actif de la construction transfrontalière, cet acteur politique connaît les caractéristiques de notre zone d’action. Nous saluons le retrait de M. Mas et l’arrivée de M. Puigdemont, tout en partageant le soulagement que procure le dénouement de la crise politique catalane.
RÉGIONALES – « SECOND TOUR : DÉCLIN DU PAYS CATALAN »
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
Les élections régionales programment le déclin du Pays Catalan, car le Parti Socialiste, les Républicains et le Front National, partagent une vision toulousaine. La centralisation de la gigantesque région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées est en marche.
Pour preuve, aucun débat n’a réuni les têtes de listes départementales des Pyrénées-Orientales. Faute d’arguments précis, les électeurs voteront pour le logo des appareils nationaux. Dans ce contexte de troisième zone, tous les choix politiques sont vains pour notre territoire de proximité. Le PS a le culot d’inventer le «bilan positif» du Languedoc-Roussillon, leader français du chômage. Le FN promet des solutions fantasques, qui dépassent les compétences régionales, à moins d’obtenir l’autonomie politique qu’il combat. Les Républicains jouent les professeurs hors-sol, étrangers aux problématiques de Perpignan, du Roussillon, du Vallespir, du Conflent, de la Cerdagne, du Capcir et des Fenouillèdes.
La consultation des programmes et les rendez-vous médiatiques confirment l’éjection des territoires périphériques comme le nôtre. Notre position géographique et notre personnalité transfrontalière sont évacués. L es prétendants nous font le coup de Montpellier, qui voulait remplacer Paris. Ils nous confinent au rôle de province de Toulouse ou, au mieux, nous envisagent comme leur zone touristique, sans développement économique sérieux. Ce contexte nous invite à ne donner aucune consigne de vote à nos adhérents et sympathisants.
MUSIQUE : JOAN LLORENÇ SOLÉ, UN 6ème ALBUM EN PRÉPARATION
Joan Llorenç Solé s’est lancé en 2008 dans l’univers de la chanson catalane, qu’il a souhaité déployer auprès de tous : son public est originaire des Pyrénées-Orientales ou a choisi de venir vivre dans le département. Pour son 6ème album, l’artiste a choisi le financement participatif, afin de finaliser le budget. Cet album sera enregistré à fin octobre 2015, à Estavar (Cerdagne), en compagnie des musiciens de l’orchestre Amoga de Vidreres (Cat. Sud). La campagne lancée vise à financer une partie du projet : la postproduction (design, photographie, édition du premier tirage, promotion). Pour cela, nous faisons appel à votre engagement, grâce au site barcelonais « totsuma ». Cette coopérative digitale réinvestit dans le réseau numérique artistique catalan. Organisation à but non lucratif, elle s’attache à promouvoir l’usage du catalan sur Internet.
Pourquoi le micro mécénat, ou crowdfunding ?
« Tout d’abord, pour sa philosophie », souligne le chanteur, qui ajoute : « le public est impliqué dans un projet culturel, avant sa réalisation. Il en fait partie et un lien fort est créé avec les auteurs ». Joan Llorenç Solé, souhaite aussi faire « connaître et comprendre le pays dans lequel nous vivons. Je souhaite montrer une facette culturelle souvent cachée au public ». Il conclut avec le sourire : « Je souhaite améliorer un projet unique éloigné de la musique commerciale. Il est impossible d’assumer tous les frais de ce processus, sans le public !».
La campagne de financement participatif débute le 9 octobre 2015 sur la plateforme « Totsuma.cat », à travers les réseaux sociaux et la presse des Pyrénées-Orientales. Elle permettra de mettre sur pied l’album intitulé « Estavar ». Les sommes obtenues seront employées à l’amélioration de la qualité de post-production : amélioration de la distribution, des présentations etc. Le coût total du disque est beaucoup plus élevé que les 3 000 € à atteindre grâce au public. « Nous avons décidé de parier sur ce chiffre car il est raisonnable pour mener à bien ce projet, pour terminer l’album et atteindre la qualité dont nous avons besoin ».
Une nouveauté pour le chanteur catalan, qui s’implante en Cerdagne et Catalogne Sud.
POLITIQUE : JAUME ROURE REPOND A LOUIS ALIOT
C’est à la suite de notre article du 27 septembre (Lire « LE TRANSFUGE J.FRANCOIS FONS TETE DE LISTE FN / RMB AUX RÉGIONALES« portant sur la Conférence de Presse présentant la tête de liste FN / RBM au cours de laquelle Louis Aliot évoquait l’Indépendance possible de la Catalogne Sud et Jaume Roure que celui-ci nous adresse le texte suivant avec demande d’insertion :
« Un grand merci à Louis ALIOT qui me fait l’honneur de me citer et de me référencer comme indépendantiste, dans sa réflexion sur le vote plébiscitaire du 27 septembre en Catalogne. Juste lui faire remarquer que ce vote est celui d’un peuple qui s’exprime à 78%, pacifiquement mais fermement.
Qu’il soit contre… c’est son problème et cela ne me surprend pas du tout, le droit à décider des peuples ne fait pas parti de son répertoire.
La Catalogne-nord dont il se sert de base d’envol, va être certainement impactée par les résultats de dimanche dernier et les partis « catalanistes » vont pouvoir expliquer une fois encore que le bassin d’emploi est au Sud, que la modernité, que la technologie viennent du Sud et que l’Europe est à Barcelona ville Monde, pour nous qui sommes désormais à 1h15 du centre d’une capitale européenne.
Je reconnais par ailleurs à Monsieur ALIOT son habileté politique et je regrette vivement qu’il ait réussi à s’attacher les services de Jean François FONS avec qui j’ai eu de nombreuses occasions justement de parler de la Catalogne. Il sera probablement élu et appelé à siéger au sein du conseil de la future Méga-région… J’espère simplement que j’ai su lui faire aimer sa terre et en bon cerdan qu’il est, il ne l’oubliera pas ! »
CATALOGNE DU SUD – MISE EN EXAMEN D’ARTUR MAS : « LE POST-FRANQUISME EN ACTION EN ESPAGNE »
Communiqué de « Convergence Démocratique de Catalogne »
Moins de 48 heures après la victoire indépendantiste aux élections parlementaires, le principal leader du mouvement et président de CDC, Artur Mas, a été mis en examen ce mardi 29 septembre. La justice lui reproche d’avoir favorisé la consultation démocratique du 9 novembre 2014, qui a montré à l’Europe entière la méthode pacifique de la Catalogne vers son propre destin. Le gouvernement espagnol, aux commandes de la justice, démontre son incapacité au dialogue. Les vieux démons du Partido Popular, au pouvoir à Madrid, sont revenus : ce parti politique issu du franquisme et ami de Nicolas Sarkozy refuse la démocratie, en niant le mandat parlementaire obtenu par les souverainistes catalans. L’Espagne obscurantiste revient, en organisant la comparution d’Artur Mas le 15 octobre, journée anniversaire du fusillement de son prédécesseur Lluís Companys, en 1940. Convergence Démocratique de Catalogne (CDC) condamne sans réserve aucune le stratagème espagnol.
Nous alertons, dans les Pyrénées-Orientales et en France, de l’extrême gravité des faits en cours.
CATALANITÉ : TORNEN ELS CURSOS DE CATALA D’ÒMNIUM CATALUNYA NORD
Communiqué d’ÒCN
Els cursos de català 2015-2016 d’Òmnium Catalunya Nord començaran a partir del primer d’octubre.
Aquests cursos reben un ajut financer de la Regió Llenguadoc-Rosselló, del Consell General dels Pirineus Orientals, de la Generalitat de Catalunya, de la Vila de Perpinyà i de les municipalitats i associacions que participen, en els diversos pobles, a la seva organització.
En general es tracta de cursos d’1h30 cada setmana, amb una participació dels alumnes, durant el període que va del primer d’octubre 2015 al 30 de juny 2016.
Hi haurà cursos als pobles següents : Alenyà, Bages, Bao, Cabestany, Canet, Cànoes, El Barcares, Elna, El Soler, La Roca de les Alberes, Pollestres, Prada, Santa Maria, Sant Andreu de Sureda, Sant Genís de Fontanes, Sant Cebrià, Sant Hipòlit, Sant Llorenç de la Salanca, Sureda, oluges i Vilallonga dels Monts.
A Perpinyà hi haurà cursos al Casal Català (23 avinguda del Liceu), al Centre de Formació de la Vila de Perpinyà (carrer Déodat de Séverac) i a l’annex de l’ajuntament del Molí de Vent (carrer del Vilar). Hi haurà també cursos, però més intensius, a la Casa de la Generalitat (1 carrer de la Fusteria).
A la web www.omnium-catnord.cat es troba la llista dels diferents cursos, així com els horaris, els professors, el lloc on es fan, i els noms de les municipalitats i entitats que els acullen.
Per inscriure’s es pot contactar els professors de català ells mateixos, les associacions o municipalitats organitzadores. També podeu escriure a Òmnium Catalunya Nord, 23 avinguda del Liceu 66000 Perpinyà o enviar un correu electrònic a catalunyanord@omnium.cat. O telefonar-nos al 04 68 55 47 90 (de dilluns a dijous de 15h a 18h30).
Òmnium Catalunya Nord pot estudiar la possibilitat d’obrir altres cursos sempre que hi hagi un mínim de 10 inscrits i una municipalitat o una associació d’acord per col·laborar.
Reprise des cours de catalan d’Òmnium Catalunya Nord
Les cours de catalan assurés par Òmnium Catalunya Nord vont reprendre dès le début du mois d’octobre.
Ces cours reçoivent un soutien financier de la Région Languedoc-Roussillon, du Conseil Départemental des Pyrénées-Orientales, de la Generalitat de Catalunya, de la ville de Perpignan et des municipalités et associations qui participent à leur organisation dans les différents villages.
Il s’agit en général de cours de 1h30 hebdomadaire durant la période scolaire située entre le 1 octobre et le 30 juin. Une participation est demandée.
En principe il devrait y avoir des cours dans les villages suivants : Alenya, Bages, Baho, Cabestany, Canet, Canohes, Elne, Laroque des Albères, Le Barcarès, Le Soler, Pollestres, Prades, Sainte Marie la Mer, Saint-André, Saint-Cyprien, Saint-Génis-des-Fontaines, Saint-Hippolyte, Saint-Laurent-de-la-Salanque, Sorède, Toulouges et Villelongue dels Monts.
A Perpignan il y aura des cours au Casal Català, 23 avenue du Lycée, au Centre de Formation de la rue Déodat de Séverac et à l’annexe de Mairie du Moulin à Vent. Il y a également des cours, mais plus intensifs, à la Casa de la Generalitat, 1 rue de la Fusterie.
Sur le site www.omnium-catnord.cat vous trouverez la liste des cours, ainsi que les horaires, les noms des professeurs et les municipalités ou associations qui les accueillent.
Pour s’inscrire les personnes intéressées peuvent contacter les professeurs de catalan ainsi que les associations ou les municipalités concernées ou se présenter au premier cours.
Vous pouvez aussi écrire à Òmnium Catalunya Nord, 23 avenue du Lycée 66000 Perpignan ou envoyer un courrier électronique à catalunyanord@omnium.cat. Vous pouvez aussi nous appeler au 04 68 55 47 90, du lundi au jeudi de 15h à 18h30.
Òmnium Catalunya Nord est prête à envisager d’autres ouvertures, dès qu’il pourra y avoir un minimum de 10 inscrits et une municipalité ou une association prêtes à collaborer.
POLITIQUE : DOMINIQUE REYNIÉ ENTERRE LES DÉPARTEMENTS !
Par Sébastien Ménard, Secrétaire Départemental de » Debout la France »
Dominique REYNIÉ le dit dans « L’Indépendant » : il souhaite la disparition des départements au profit des métropoles et des régions. En effet, en voulant faire remonter les budgets départementaux vers la région, il signe l’arrêt de mort du Pays Catalan.
REYNIÉ n’explique pas comment il compte développer et protéger l’ensemble du territoire si son seul interlocuteur est l’immense, la gigantesque, la puissante « Communauté Urbaine de Perpignan » ! Qui coordonnera une politique cohérente pour l’ensemble du Pays Catalan si chaque communauté de communes doit négocier les aides de la région de son côté ? Qui pilotera la mise en place d’un label « Pays Catalan » s’il n’y a pas de chef de file ? Qui gèrera les compétences sociales ?
REYNIÉ révèle le programme de « Les Républicains » : l’égoïsme à l’échelle des collectivités territoriales. Les riches métropoles pourront s’en sortir et les petites agglos. devront disparaître.
Pour Debout les P.-O., la seule solution c’est une « Région Catalane » avec les compétences départementales et régionales. Ce sera une collectivité territoriale unique proche des citoyens, capable d’agir sur le quotidien des habitants et sur le long terme, et qui permettra de faire plus d’économies (synergies région/département) que la trop grande région LRMP.
POLITIQUE : VIVEZ LA SOIREE ELECTORALE DE CATALOGNE AVEC CDC
Communiqué de CDC
Convergence Démocratique de Catalogne vous invite à vivre les élections de Catalogne.
Dimanche 27 septembre à partir de 20h, notre siège du 9, rue Camille Desmoulins à Perpignan (secteur Bd. Clemenceau / Av. Leclerc) sera accessible à toutes les personnes désireuses de mieux comprendre les enjeux de cette échéance. Nos dirigeants seront présents lors de ce rendez-vous qui permettra de suivre les opérations de dépouillement, les premières estimations et l’annonce des résultats. Un apéritif accompagnera cette soirée décisive pour l’avenir de la Catalogne du Nord.
POLITIQUE : AVERTISSEMENT A N. SARKOZY, SOUTIEN DES POST-FRANQUISTES
Communiqué de Convergence Démocratique de Catalogne
Ce vendredi 25 septembre, à Barcelone, Nicolas Sarkozy soutiendra le Partido Popular espagnol, dans le cadre de la campagne électorale sur la souveraineté catalane. Cette irruption dans le processus démocratique en cours est une erreur, car l’affichage aux côtés d’un parti issu du régime franquiste contredit frontalement le gaullisme résistant. L’aile dure du Partido Popular est même plus droitière que le Front National à de nombreux égards. Dans ce guet-apens, l’ancien chef de l’Etat soutiendra l’échec, car cette formation politique, à la tête du gouvernement espagnol, est marginale en Catalogne. Selon 20 sondages, elle échouera aux élections de ce dimanche 27 septembre. La participation du président de « Les Républicains » est aussi une maladresse stratégique car un futur Etat Catalan, ami de la France, devra dialoguer sans précédents fâcheux avec Paris, selon une nouvelle stature diplomatique. Convergence Démocratique de Catalogne déplore cette intervention malvenue, à laquelle les Républicains des Pyrénées-Orientales n’ont visiblement pas accordé l’attention nécessaire. Le temps de «Vive le Québec libre» est bien lointain.
POLITIQUE : LA CUP TANCA CAMPANYA A PERPINYA
La CUP (Candidatura d’Unitat Popular) dels Països Catalans que es presenta a les eleccions excepcionals que celebraran el proper diumenge 27 de setembre a la comunitat autònoma de Catalunya, tanca la seua campanya a Perpinyà, València i Palma.
Aquest dissabte 26 de setembre, Antonio Baños el número 1 per Barcelona, així com Benet Salellas, número 1 per Girona de la CUP seran a Perpinyà per acabar la campanya.
Efectivament, la CUP ha decidit durant la jornada de reflexió descentralitzar els seus actes arreu dels Països Catalans, i fer visible el conjunt del territori català.
Aixi doncs, a Perpinyà els candidats arribaran durant la tarda per conèixer la realitat local de la mà dels militants de la CUP de Perpinyà.
A les 18h30, al cinema Castellet de Perpinyà se farà l’acte polític, amb la intervenció de Antonio Baños, n°1 per Barcelona, Benet Salellas, n°1 per Girona, Dolors Serra de la CUP de Perpinyà i l’actuació musical d’Agulla Almarada.
Al vespre, a partir de les 20h30, se farà un sopar als locals que ens cedeix el Casal (23 avinguda del Liceu, Perpinyà) seguit d’un concert amb el grup de rumba Els Delai.
La premsa que vulgui més informació o que vulgui entrevistar els candidats s’ha de posar en contacte amb la CUP de Perpinyà per mail (cup.perpinya@gmail.com) o per telèfon (06 26 02 83 98).
CUP Perpinyà
cup.perpinya@gmail.com
perpinya.cup.cat
facebook.com/CUPPerpinya
LA CUP CLOTURE SA CAMPAGNE A PERPIGNAN
La CUP (Candidatura d’Unitat Popular) des Països Catalans qui se présente aux élections exceptionnelles qui auront lieu dimanche 27 septembre dans la communauté autonome de Catalogne, finira sa campagne a Perpinyà, València et Palma (Mallorca).
Ce samedi 26 septembre, Antonio Baños numéro 1 pour Barcelona, ainsi que Benet Salellas, numéro 1 pour Girona seront à Perpignan pour clore la campagne.
Effectivement, la CUP a décidé de décentraliser ses actions tout au long des Països Catalans pendant la journée de réflexion à fin de rendre visible l’ensemble du territoire catalan.
Ainsi, a Perpignan les candidats arriveront pendant l’après-midi à fin de connaître la réalité locale de la main des militas de la CUP de Perpignan.
A 18h30, au cinéma Castillet, au lieu la manifestation politique, avec l’intervention de Antonio Baños n°1 pour Barcelona, Benet Salellas, n°1 pour Girona, Dolors Serra de la CUP de Perpinyà et l’intervention musicale d’Agulla Almarada.
Le soir, à partir de 20h30, un repas aura lieu au Casal (23 avinguda del Liceu, Perpinyà) suivi d’un concert avec le groupe de rumba Els Delai.
La presse qui souhaiterait plus d’information o interviewer les candidats doit contacter la CUP de de Perpinyà par mail (cup.perpinya@gmail.com) ou par téléphone (06 26 02 83 98).
POLITIQUE : SUCCÈS DU DÉBAT « CATALOGNE INDÉPENDANTE ? IMPACTS EN CATALOGNE DU NORD »
Communiqué du CDC
120 personnes ont participé mardi 15 septembre au débat de rentrée organisé au siège de Convergence Démocratique de Catalogne (CDC), rue Camille Desmoulins à Perpignan. Le thème «Catalogne indépendante ? Impacts en Catalogne du Nord» concernait la brûlante actualité politique observée à nos portes. Un sujet majeur pour les Pyrénées-Orientales, mais «parfaitement négligé par nos grand élus», signalait le modérateur, Terenci Vera.
Dans une intervention captivante, l’avocat Pierre Becque, ancien maire de Banyuls-sur-mer et conseiller régional, a souligné l’intérêt d’une coopération économique poussée avec une future «Suisse du Sud de l’Europe». Les concurrences transfrontalières, notamment dans le BTP, seront amoindries par le fonctionnement d’un Etat catalan plus européen que l’Espagne, selon ce spécialiste du monde économique. «Les entreprises de Perpignan pourront mieux attaquer le marché sud-catalan, si elles s’en donnent les moyens», a-t-il insisté.
Pour sa part, la maire CDC de La Jonquera, Sònia Martínez, a rappelé l’importance des municipalités dans le processus vers la souveraineté catalane, car «la mairie est le premier maillon de la démocratie». Cette élue estime que l’indépendance est «certaine», mais que le processus sera «compliqué». A ses côtés, le président de CDC Catalogne du Nord, Jordi Vera, a relevé l’«impact psychologique» d’un Etat catalan sur les habitants de notre territoire. Il a décrit le Conseil Assesseur pour la Transition Nationale, instance gouvernementale catalane chargée de développer les organes nécessaires en matière de fiscalité, d’énergie ou encore de diplomatie internationale.
En conclusion de cet échange passionné, avec interventions du public, le modérateur a mis en relief notre rôle territorial dans la future géopolitique. «Perpignan doit redevenir un centre, qui décide de ce qui lui convient le mieux». Ce moment d’analyses a démontré le profond engouement des habitants de notre département pour le principal événement européen des prochains mois.
PARLEM ! ELECTIONS MUNICIPALES ET « EL PROCES SOBIRANISTA »
Par Jaume Roure
Plus que jamais l’analyse est complexe, trois thèmes différents se proposent à nous : espagnol, municipal, autonomique / les municipales en Catalogne et à Barcelona / les conséquences sur les chemins de l’Indépendance.
Ce dimanche est un point d’inflexion qui certainement va s’accentuer pour les élections générales. C’est le début de la fin du bipartisme. En tout cas dans les grandes villes et le système électoral espagnol va obliger les partis traditionnels à « pacter »
En Espagne, comme en Catalogne, le PP ne peut « pacter » qu’avec Ciutadans. Qui en tirera profit ? Le PP est sacrément touché, plus qu’eux-mêmes ne l’avaient prévu. Ils perdent plusieurs régions, plus de 30 capitales et ne conservent qu’Oviedo, Vitoria et Ceuta pour gouverner en solitaire. Ils perdent Madrid et certainement Valencia et reculent sensiblement aux Baléares. De possibles remous internes sont à prévoir, car au niveau économique ils n’ont rien à apporter à court terme.
Les socialistes baissent aussi, mais moins que prévu. Les socialistes ne gagnent que dans 5 des 50 capitales de province : Huelva, Segovia,, Soria, LLeida et Tarragona. Ils vont devoir « pacter » avec Podemos. Reste qu’au niveau historique, c’est leur plus mauvais ronosanosésultat (seulement 5,5M de votes : 25%), mais ce n’est pas la bérezina.
Ciudadanos ou ciutadans (C’): ils n’explosent pas comme prévu par les médias, surtout de droite, mais le fait est qu’ils passent de 11 élus en 2011 à… 1527 aujourd’hui (sacrée progression quand même !), il est vrai qu’en 2011 ils ne se présentaient qu’en Catalogne.
Le PP va avoir besoin d’eux pour gouverner la communidad de Madrid. Ils sont devenus les principaux opposants au séparatisme catalan et cela leur a permis de gagner des voix dans toutes l’Espagne .
Podemos ou Podem : ils se sont présentés sous différentes marques en coalition avec d’autres, donc résultat difficile à mesurer. Mais leur succès est spectaculaire. Ils deviennent el 3éme parti de l’Espagne. Ils gagnent Madrid et Barcelona (à Barcelona, Ada Colau n’est pas de Podemos, mais sa coalition a gagné grâce à eux.) ILS PEUVENT GAGNER LES ELECTIONS GENERALES… dans 6 mois !!!
La croissance importante de la participation fait enregistrer une poussée sensible de la nouvelle gauche :
– CiU gagne (3326 élus avec 21,52% des voix)… mais perd du poids et la ville de Barcelona.
– ERC passe à 2381 élus (pris à Ciu), soit 16,40% des votes, le double qu’en 2011 : résultat exceptionnel que personne (en tout cas pas moi) n’avait prévu.
– PSC : 17,06%, Podemos et autres (Barcelona en comu à Bcna) totalise 11,79% des suffrages.
– Suivent le PP (7,49%), grosse chute, Ciutadans (7,43%).
– Enfin la CUP qui a doublé et obtenu 7,14%
Un calcul rapide nous donne : les élus indépendantistes passent de 38% à 45%, les contre descendent de 38% à 32%.
La ville de Barcelona :
Vases communiquant obligent, Barcelona en comù (ada Colau) reçoit ce que perd le PSC – Ciutadans ce que perd le PP et ERC ce que perd CiU.
Ne pas oublier qu’Ada Colau depuis qu’elle est candidate ne parle plus d’Indépendantisme en Catalogne (pacte avec Podemos ???), car tout ce qu’elle a dit c’est oui au droit à décider, (Ada Colau avait voté oui / oui à la consulta )…
Le résultat : elle ne gagne que d’un siége (11)6 CiU(10) – C’s(5)-ERC(5)-PSC(4)-CUP(3)
Ce qui nous donne CiU+ERC+CUP =18 alors que barcelona en comù et PSC 15. Mais TRIAS très intelligemment a dit qu’il respecterait la liste la plus votée.
Demain des pactes vont se faire dans toutes les villes et villages, nous en saurons un peu plus.
Mais les partis traditionnels vont tous devoir « pacter ».
Nous en reparlerons… parlem !
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