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François HOLLANDE

POLITIQUE – RETRAIT DE FRANÇOIS HOLLANDE : L’ALLOCUTION INTÉGRALE

Vidéo complète sur www.facebook.com/DirectSudActu

François Hollande a annoncé ce jeudi qu’il renonçait à briguer sa succession à l’Élysée en 2017. Une annonce surprise, lors de laquelle le président de la République a fait le bilan de son quinquennat.
Mes chers compatriotes,
Je m’adresse à vous ce soir pour vous faire connaître la décision que j’ai prise, dans la perspective de la prochaine élection présidentielle.
Depuis mai 2012, c’est-à-dire la date à partir de laquelle je suis devenu Président de la République, j’ai agi avec les gouvernements de Jean-Marc AYRAULT et de Manuel VALLS pour redresser la France et la rendre plus juste.
Aujourd’hui, au moment où je m’exprime, les comptes publics sont assainis, la Sécurité sociale est à l’équilibre et la dette du pays a été préservée.
J’ai également voulu que notre modèle social puisse être conforté parce que c’est notre bien commun. Je l’ai même élargi pour permettre à ces travailleurs qui avaient commencé très tôt leur vie professionnelle de partir plus précocement à la retraite. J’ai fait en sorte qu’à chacune et à chacun, puisse être accordée une complémentaire santé.
Dans ce contexte, j’ai aussi voulu placer la France au premier rang. Au premier rang de la lutte contre le réchauffement climatique et c’est à Paris, oui, à Paris, que l’accord historique a pu être signé et qui a engagé le monde entier.
J’ai voulu aussi que l’école dispose des moyens indispensables, ceux-là même qui lui avaient été ôtés dans la période précédente parce que l’école, c’est le pilier de la République.
J’ai fait avancer les libertés : le mariage a été ouvert à tous les couples, l’égalité entre les femmes et les hommes a été renforcée et la lutte contre les discriminations, celles qui blessent, a été amplifiée.
J’ai également modernisé notre démocratie avec la réforme territoriale, celle dont on parlait régulièrement et qui n’était jamais faite, avec la fin du cumul des mandats et avec également la transparence que j’ai imposée à tous les élus, à commencer par moi-même, pour être dans l’exemplarité.
Mais l’engagement majeur que j’avais pris devant vous, c’était de faire baisser le chômage. J’y ai consacré, avec les gouvernements, toute mon énergie, j’ai pris tous les risques : j’ai allégé les charges des entreprises parce que c’est la condition pour qu’il y ait davantage d’emplois. J’ai également aidé les embauches, j’ai fait en sorte que la formation professionnelle puisse être une grande priorité, j’ai aussi soutenu l’innovation et l’industrie de demain et j’ai pris la responsabilité de réformer le marché du travail.
Les résultats arrivent plus tard que je ne les avais annoncés, j’en conviens, mais ils sont là : l’investissement, la consommation, la construction repartent et depuis le début de l’année, le chômage enfin diminue mais il reste à un niveau trop élevé et je mesure ce que cette situation peut avoir d’insupportable pour nos concitoyens qui vivent dans la précarité.
Mes chers compatriotes, le monde, l’Europe, la France ont traversé pendant tout mon mandat des épreuves particulièrement graves. J’ai engagé nos forces armées au Mali, en Centrafrique, en Irak, en Syrie pour défendre nos valeurs et pour combattre le terrorisme islamiste qui nous avait frappés et qui nous menace encore − frappés à Paris, à Saint-Denis, à Nice et dans tant d’autres lieux ensanglantés
Dans ces circonstances particulièrement éprouvantes, terribles même, j’ai voulu que soit maintenue la cohésion nationale, que nous puissions éviter les divisions, les surenchères, les stigmatisations et donc les amalgames.
Mais en même temps nous avons tenu bon et j’ai pris les mesures qui étaient nécessaires. Notre arsenal pénal a été durci sans mettre en cause à aucun moment nos libertés. J’ai également procédé à des recrutements massifs dans nos armées, dans la Gendarmerie, dans la Police parce que nous en avons besoin et qu’il y a encore beaucoup à faire. Sur les réfugiés j’ai tenu à ce que la France puisse prendre sa part parce que nous sommes la France, dans l’accueil de ceux qui fuyaient la guerre et qu’en même temps nous puissions toujours maîtriser nos frontières. Sur tous ces sujets, je n’ai qu’un seul regret, et je veux ici l’exprimer : c’est d’avoir proposé la déchéance de nationalité parce que je pensais qu’elle pouvait nous unir alors qu’elle nous a divisés.
Au niveau européen, j’ai agi en votre nom pour que l’austérité puisse être enfin terminée pour beaucoup de peuples et j’ai fait en sorte que la Grèce puisse rester dans la zone euro parce que sinon elle aurait éclaté cette zone euro, tellement elle était traversée de tensions et de crises. J’ai également régulé la finance, oui la finance, et le système bancaire, parce que ce que j’avais trouvé en 2012 était source de tous les risques.
Voilà ce que j’ai fait. Voilà ce que j’assume devant vous en revendiquant les avancées, en reconnaissant les retards et même en admettant certaines erreurs parce que je porte un bilan et j’en assume toute la responsabilité.
Dans cinq mois, vous aurez, mes chers compatriotes, à faire un choix pour notre pays. La droite vient de désigner son candidat après une large consultation. Je respecte la personne, le parcours de François FILLON, mais j’estime que le projet qu’il porte met en cause notre modèle social et nos services publics sans aucun bénéfice, au contraire, pour notre économie et avec un risque d’aggravation des inégalités.
Quant à l’extrême droite, elle nous appelle au repli, à la sortie de l’Europe et du monde. Elle prend comme référence ce qui vient de se produire aux Etats-Unis. Je vous le dis nettement, franchement : le plus grand danger, c’est le protectionnisme, c’est l’enfermement et ce serait d’abord un désastre pour les travailleurs français. Or, comme Président de la République, je tiens d’abord à ce que le travail en France puisse être soutenu et valorisé.
Plus que quiconque, mes chers compatriotes, je mesure l’enjeu de la période qui s’ouvre. Comme Président de la République, je dois diriger l’Etat, j’ai la responsabilité d’assurer le fonctionnement régulier de nos institutions jusqu’au terme de mon mandat et dans un contexte où la menace terroriste n’a jamais été aussi élevée.
Comme socialiste, parce que c’est l’engagement de toute ma vie, je ne peux accepter, je ne peux me résoudre même à la dispersion de la gauche, à son éclatement, parce qu’elle priverait de tout espoir de l’emporter face au conservatisme et pire encore, face à l’extrémisme.
Pour ma part, je ne suis animé que par l’intérêt supérieur du pays. Le pays, depuis plus de quatre ans et demi, je l’ai servi avec sincérité, avec honnêteté. L’expérience m’a apporté l’humilité qui est indispensable à l’action publique.
Face aux épreuves, j’ai pu avoir une capacité inépuisable de résistance devant l’adversité. Mais le pouvoir, l’exercice du pouvoir, les lieux du pouvoir et les rites du pouvoir ne m’ont jamais fait perdre ma lucidité, ni sur moi-même, ni sur la situation, car je dois agir. Aujourd’hui, je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d’elle.
Aussi, j’ai décidé de ne pas être candidat à l’élection présidentielle, au renouvellement donc de mon mandat.
Je tenais ici à vous en faire part directement, comme je m’y étais engagé, au début du mois de décembre, tel que je l’avais moi-même annoncé. Je le fais en prenant toute ma responsabilité mais aussi en en appelant à un sursaut collectif et qui engage tous les progressistes qui doivent s’unir dans ces circonstances parce que ce qui est en cause, ce n’est pas une personne, c’est l’avenir du pays. Je ne veux pas que la France soit exposée à des aventures qui seraient coûteuses et même dangereuses pour son unité, pour sa cohésion, pour ses équilibres sociaux.
Voilà le message que j’étais venu ici vous adresser. Dans les mois qui viennent, mon devoir, mon seul devoir sera de continuer à diriger le pays, celui que vous m’avez confié en 2012, en m’y consacrant pleinement et dans le dévouement le plus total à la République.
Vive la République et vive la France.

PRÉSIDENTIELLE : HOLLANDE PERD SON ÉLECTORAT AU PROFIT DU FN

Par Robin Le Parisien 
Fonctionnaires, classes populaires : à huit mois de la présidentielle la gauche apparaît de plus en plus coupée de ses fiefs traditionnels.
C’est un dîner d’été un peu particulier qui s’est tenu au soir du 31 août au ministère de la Fonction publique, rue de Lille (Paris VIIe). Autour d’Annick Girardin, la ministre, ont pris place des politologues et des spécialistes du Front national. Au menu : comment stopper l’impressionnante montée du FN chez les fonctionnaires ? Et, plus encore, reprendre pied dans ce fief traditionnellement acquis à la gauche. Il y a urgence, à voir une enquête électorale du Cevipof (centre de recherche de Sciences-po) qui a créé l’émoi au gouvernement. Au point qu’une note interne sur ce sujet a circulé dans le ministère, appelant à une réaction rapide.
« Depuis 2012, Marine Le Pen n’a cessé d’accroître son score chez les fonctionnaires, pointe Luc Rouban, directeur de recherches au CNRS et auteur de l’étude. Une percée indéniable dans un milieu qui ne lui est pas favorable par nature ». Le chercheur figure justement parmi les convives ce soir-là.
Son constat paraît d’autant plus alarmiste que, ces derniers mois, François Hollande n’a pourtant pas été avare de « cadeaux » aux fonctionnaires. Revalorisation en mars dernier du point d’indice salarial gelé en 2010, hausse des primes des professeurs des écoles… Las, rien n’y fait, entre janvier et mai 2016, révèle l’enquête Cevipof, les intentions de vote pour Hollande reculent de 6 points chez les fonctionnaires (toutes catégories confondues). « Le fait d’avoir lâché sur ces points n’a pas changé leur regard sur le gouvernement », tranche Luc Rouban.
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PRÉSIDENTIELLE : LA GAUCHE AU TAPIS DÈS LE 1er TOUR ! FRANÇOIS HOLLANDE SERA-T-IL CANDIDAT ?

Source Valeurs Actuelles
Sondage. Selon une enquête d’opinion BVA pour la presse régionale et Orange, diffusée ce jeudi, quel que soit le cas de figure, aucun candidat de gauche ne pourrait accéder au deuxième tour de l’élection présidentielle.
Les sondages se suivent et se ressemblent pour la gauche. Après cinq ans de règne socialiste, les électeurs semblent vaccinés et rejettent en bloc les candidatures des candidats de gauche pour le premier tour de l’élection présidentielle. Selon un sondage BVA pour la presse régionale et Orange, rendu public ce jeudi, quel que soit le scénario des candidatures, aucun homme ou femme de gauche ne se hissera au second tour. L’enquête teste ainsi huit combinaisons différentes. Leur point commun : François Hollande est, à chaque fois, largement battu.
Il est devancé par son ancien ministre de l’Economie, qu’il avait lancé en politique au début du quinquennat, et parfois même au coude-à-coude avec le candidat du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon. Si le vote avait lieu aujourd’hui, Marine Le Pen arriverait toujours en tête au premier tour, systématiquement suivie par le candidat des Républicains, Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, François Fillon, Bruno Le Maire. Si Emmanuel Macron est candidat et qu’Alain Juppé représente la droite, ce dernier devancera largement l’ancien banquier d’affaires et affronterait Marine Le Pen au second tour.
Ce sondage confirme donc les tendances qui émergent depuis plusieurs mois. La bataille pour la primaire de la droite et du centre sera donc cruciale, puisque son vainqueur aura de fortes chances d’accéder à l’Elysée.

POLITIQUE – BRUNO LE MAIRE : « ÉCRIRE UNE NOUVELLE PAGE DE NOTRE HISTOIRE »

 Bruno Lemaire devant 450 personnes place Méditerranée
Bruno Le Maire devant 450 personnes place Méditerranée (Crédit photo SP)
L’ambitieux candidat à la Primaire de « Les républicains » était en visite le 22 août à Canet, invité pour la deuxième fois par celui qui est de ses soutiens actifs Bernard Dupont, aux côtés du Sénateur honoraire Maire de Sournia Paul Blanc, du Député Fernand Siré remercié pour « son soutien de longue date », de Robert Vila maire de Saint-Estève et de celui de Pollestres Daniel Mach qui soutient Nicolas Sarkozy dont la présence se justifie à la fois par sa volonté que la Démocratie s’exprime pleinement mais aussi ès qualité de Secrétaire Départemental de LR, en l’absence du Président François Lietta en vacances à l’étranger. « Fernand, quand tu as commencé à me soutenir, comme Bernard (ancien soutien de François Fillon – NDR), vous n’étiez pas nombreux autour de moi. La qualité d’un engagement ça se mesure à ça, soutenir au tout dernier moment quand les sondages sont favorables et que la victoire est à portée de main c’est facile mais quand le mouvement du renouveau n’est qu’à son début c’est beaucoup plus difficile » déclare Bruno Le Maire distribuant des bons points à ses hôtes d’un jour.
De gauche à droite Paul Blanc, Bernard Dupont, Daniel Mach et Robert Vila
De gauche à droite Paul Blanc, Bernard Dupont, Daniel Mach, Fernand Siré et Robert Vila (Crédit photo SP)
Véritable succès populaire
Pas de doute, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy et ancien Directeur de Cabinet de Dominique de Villepin a des convictions, un projet et… du bagout et c’est devant un public d’environ 450 personnes qu’il s’exprimait, sur une Place Méd’ transformée en salle de meeting, performance à relever en période estivale et dans un contexte de défiance politique qui s’aggrave de jour en jour. L’homme semble faire recette partout où il passe et c’est plutôt bon signe pour lui dans le combat fratricide qu’il l’opposera dans moins de 100 jours à Alain Jupé et à l’ancien Président qui demeurent ses principaux adversaires, même si c’est possiblement dans cet ordre d’arrivée.
(Crédit photo SP)
(Crédit photo SP)
Un programme complet décliné par un candidat convaincu
Le « début d’un débat que vous attendez, vous les électeurs de la droite et du centre qui ne voulez plus de François Hollande et qui savez que c’est lors de la Primaire que ça se décidera » affirme-t-il. « Est-ce que vous voulez reprendre ceux qui ont déjà gouverné le pays et qui ont échoué ? » interroge-t-il, visant le PS mais tâclant au passage l’ancien gouvernement auquel il a appartenu, proposant de « mettre un homme neuf à la tête du pays », en l’occurrence lui. Rétablissement du cumul des mandats voulu par son ancien Patron, »la protection d’un vieux système politique qui veut défendre ses privilèges, on vous a confisqué le pouvoir », la charge est lourde contre une partie de son camp. Tous les programmes ne se valent pas ajoute-t-il ! Sans oublier la thématique le « l’étranger qui a commis une faute en France qui doit être expulsé » commune à la droite sarkoziste et à celle de Marie Le Pen ou de Nicolas Dupont-Aignan, celle de la politique étrangère menée depuis plus de 30 ans par la France sévèrement pointée du doigt, ou encore celle du racket des commerçants par le RSI qui les pousse à la faillite mis en accusation sans retenue. Et bien entendu le terrorisme au centre de tous les débats (lire « Nous ne voulons plus pleurer en vain, nous voulons nous battre« ), validant de facto les thèses et surtout les solutions proposées par le Front National depuis de nombreuses années…
Avenue de la Méditerranée aux côtés du Député Fernand Siré et du Maire de Canet Bernard Dupont (Crédit photo SP)
Avenue de la Méditerranée aux côtés du Député Fernand Siré et du Maire de Canet Bernard Dupont (Crédit photo SP)
Et l’Europe alors ?
Reste que le candidat est résolument européiste et que la question centrale de la place et du pouvoir de l’Europe est soigneusement écartée. La droite, la gauche, la droite de la gauche, la gauche de la droite, le centre droit ou gauche, tel n’est plus le débat qui est désormais plutôt « pour » ou « contre » cette Europe, qui accapare progressivement tous les pouvoirs laissés à des fonctionnaires qui n’ont reçu aucun mandat démocratique. D’un côté le bloc « UMPS » et de l’autre le FN, DLF et le Front de Gauche, alliés objectifs sur un thème pourtant tranché par le peuple français sans qu’il n’en ait été tenu compte en 2005 par le gouvernement que soutenait Bruno Lemaire et sur lequel il faudra bien revenir un jour ou l’autre… La question est là et par ailleurs.
Construire une France nouvelle, tel est l’objectif de « l’homme neuf »… « La Primaire c’est Le Maire, le renouveau c’est Bruno » affirme le slogan de campagne, aux Français de trancher entre la copie et l’original qui semble donner le « la » !
Tour de ville avant la réunion publique et échange avec la population locale ou estivale Avenue de la Méditerranée aux côtés du Député Fernand Siré et du Maire de Canet Bernard Dupont (Crédit photo SP)
Tour de ville avant la réunion publique et échange avec la population locale ou estivale Avenue de la Méditerranée aux côtés du Député Fernand Siré et du Maire de Canet Bernard Dupont (Crédit photo SP)
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